Pascal Bodjona mtn-togo.org
Inculpé depuis le 12 septembre pour complicité d’escroquerie, puis gardé dans les locaux de la gendarmerie nationale, Pascal Bodjona, à son arrivée mardi soir à la maison, a déclaré qu’il est inculpé dans une affaire dont il ne connaît pas les tenants ni les aboutissants : « Je n’ai pas seulement à proclamer mon innocence ! Je suis innocent et ils le savent bien ! ». Il a remercié ceux qui ont prié pour lui, et a présenté ses excuses à tous les Togolais que ses actions antérieures auraient frustrés. Il affirme être sorti le cœur net et sans rancune.
A la question de savoir s’il va continuer la politique dans ce contexte de crise sociale et politique, Pascal Bodjona répond : « On ne s’improvise pas en politique ! Quand on est devenu (un homme politique), on s’y attache. Mais il faut s’y attacher avec des options. Je peux me permettre de continuer à croire que le dialogue a été l'option du président de la République. C’est pourquoi je lui demande, face à cette grogne sociale et politique, de faire attention et qu’il s’élève en bon père de famille, et qu’il puisse engager cette nation dans la voie d’un dialogue sincère, pour l’apaisement des cœurs et s’attacher au développement du pays. »
« J’ai plus intérêt, aujourd’hui, à ce que cette procédure aille à son terme, pour qu’on me dise à la fin ce qu’on me reproche », a conclu l’ancien homme fort du régime de Faure Gnassingbé.
Source: RFI
A la question de savoir s’il va continuer la politique dans ce contexte de crise sociale et politique, Pascal Bodjona répond : « On ne s’improvise pas en politique ! Quand on est devenu (un homme politique), on s’y attache. Mais il faut s’y attacher avec des options. Je peux me permettre de continuer à croire que le dialogue a été l'option du président de la République. C’est pourquoi je lui demande, face à cette grogne sociale et politique, de faire attention et qu’il s’élève en bon père de famille, et qu’il puisse engager cette nation dans la voie d’un dialogue sincère, pour l’apaisement des cœurs et s’attacher au développement du pays. »
« J’ai plus intérêt, aujourd’hui, à ce que cette procédure aille à son terme, pour qu’on me dise à la fin ce qu’on me reproche », a conclu l’ancien homme fort du régime de Faure Gnassingbé.
Source: RFI
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