Reçus le mardi 8 novembre dernier par le Khalife général des Mourides, Serigne Sidy Makhtar Mbacké, le Comité d’initiative et les bailleurs du projet d’université verte de la Banlieue, ont saisi l’opportunité de la présence de plusieurs autorités religieuses dans la ville sainte de Touba, pour les besoins des préparatifs du Grand Magal, pour vulgariser le projet par un meilleur partage d’informations.
Au terme de leurs divers échanges avec Serigne Bassirou Abdou Khadre, le porte-parole du Khalife et Serigne Moustapha Bara Falilou, la délégation a noté "avec satisfaction l’interprétation mystique que ce dernier s’est plu à faire de cette initiative, qui ambitionne d’enrichir notre architecture universitaire", précise la note de l'ONG Jamra parvenue à Pressafrik.com
Par la voix de son porte-parole, Serigne Moustapha Bara Falilou a annoncé à la délégation, dirigée par Imam Massamba Diop, "que leur venue à Touba, dans l’intervalle temporel du Magal de Darou et de celui Serigne Touba, est de bon augure. Car c’est une période spirituellement bénie. Dans une captivante excursion numérologique, le chef religieux a annoncé qu’il est d’autant plus convaincu que Bamba et Serigne Fallou ont béni ce projet que la société de Btp Shino-hydro, en charge des travaux, a estimé à 30 mois le temps nécessaire pour livrer l’université clé en main. Là où le magistère de son père, le défunt Khalife Serigne Mouhamadou Bara Mbacké, aura également duré 30 mois !".
Le porte-parole du Khalife Général, Serigne Bassirou Abdou Khadre, de concert avec Serigne Moustapha Bara Falilou, ont exprimé unanimement leur satisfaction de voir cette université porter le nom de ce héros national, icône de la Oumma islamique, grand érudit, éminent soufi, qui a héroïquement combattu l’armée coloniale française, avant de disparaître mystérieusement dans les falaises de Bandiagara, en 1864 : Cheikh Oumar Foutiyou Tall
"Un temple du savoir de cette envergure, pour pouvoir se prévaloir du statut d’université, doit se doter d’un «déclarant responsable». Lequel doit nécessairement avoir un rang d’agrégé". Le Comité d’initiative et les bailleurs ont porté leur choix sur un universitaire de renommée internationale, agrégé d’histoire, membre du Comité scientifique de l'UNESCO, chargé de la rédaction de «l'Histoire générale de l'Afrique», le professeur Iba Der Thiam. Que le Comité d’initiative et les bailleurs ont remercié devant le Khalife, pour avoir bien voulu accepter cette honorable charge.
Avant de quitter la ville sainte de Touba, le chargé de la communication, Mame Mactar Guèye, a animé un point de presse, à la Résidence Cheikhoul Khadim. Avant que le Comité d’initiative et les bailleurs ne laissent à Serigne Bassirou Abdou Khadre et à Serigne Moustapha Bara Fallilou le soin de proposer au Président de la République, Macky Sall, la date qu’ils estiment la mieux indiquée pour la cérémonie inaugurale de pose de la première pierre.
Au terme de leurs divers échanges avec Serigne Bassirou Abdou Khadre, le porte-parole du Khalife et Serigne Moustapha Bara Falilou, la délégation a noté "avec satisfaction l’interprétation mystique que ce dernier s’est plu à faire de cette initiative, qui ambitionne d’enrichir notre architecture universitaire", précise la note de l'ONG Jamra parvenue à Pressafrik.com
Par la voix de son porte-parole, Serigne Moustapha Bara Falilou a annoncé à la délégation, dirigée par Imam Massamba Diop, "que leur venue à Touba, dans l’intervalle temporel du Magal de Darou et de celui Serigne Touba, est de bon augure. Car c’est une période spirituellement bénie. Dans une captivante excursion numérologique, le chef religieux a annoncé qu’il est d’autant plus convaincu que Bamba et Serigne Fallou ont béni ce projet que la société de Btp Shino-hydro, en charge des travaux, a estimé à 30 mois le temps nécessaire pour livrer l’université clé en main. Là où le magistère de son père, le défunt Khalife Serigne Mouhamadou Bara Mbacké, aura également duré 30 mois !".
Le porte-parole du Khalife Général, Serigne Bassirou Abdou Khadre, de concert avec Serigne Moustapha Bara Falilou, ont exprimé unanimement leur satisfaction de voir cette université porter le nom de ce héros national, icône de la Oumma islamique, grand érudit, éminent soufi, qui a héroïquement combattu l’armée coloniale française, avant de disparaître mystérieusement dans les falaises de Bandiagara, en 1864 : Cheikh Oumar Foutiyou Tall
"Un temple du savoir de cette envergure, pour pouvoir se prévaloir du statut d’université, doit se doter d’un «déclarant responsable». Lequel doit nécessairement avoir un rang d’agrégé". Le Comité d’initiative et les bailleurs ont porté leur choix sur un universitaire de renommée internationale, agrégé d’histoire, membre du Comité scientifique de l'UNESCO, chargé de la rédaction de «l'Histoire générale de l'Afrique», le professeur Iba Der Thiam. Que le Comité d’initiative et les bailleurs ont remercié devant le Khalife, pour avoir bien voulu accepter cette honorable charge.
Avant de quitter la ville sainte de Touba, le chargé de la communication, Mame Mactar Guèye, a animé un point de presse, à la Résidence Cheikhoul Khadim. Avant que le Comité d’initiative et les bailleurs ne laissent à Serigne Bassirou Abdou Khadre et à Serigne Moustapha Bara Fallilou le soin de proposer au Président de la République, Macky Sall, la date qu’ils estiment la mieux indiquée pour la cérémonie inaugurale de pose de la première pierre.
Autres articles
-
Paris : un Sénégalais poignardé à mort par un compatriote
-
L’ARP valide la conformité des produits SOFTCARE après une inspection à Sindia
-
Journée nationale de la Diaspora : Bassirou Diomaye Faye veut faire du numérique le pont de la souveraineté
-
Journée Nationale de la Diaspora : le Président Diomaye érige la diaspora en « partenaire stratégique » du développement
-
Autonomisation économique des femmes : le Sénégal avance vers une loi d’orientation





Paris : un Sénégalais poignardé à mort par un compatriote


