L’Union des routiers du Sénégal (Urs) menace d’observer une grève sur l’ensemble du territoire à partir du 10 juin prochain. Ces membres s’insurgent contre les tracasseries policières.
« Nous avons déjà déposé les préavis de grève et nous comptons aller en grève le 10 juin si les négociations ne sont pas abouties entre le syndicat et les autorités sénégalaises. Les préavis comprennent deux points importants qui sont les tracasseries routières plus l’assurance CEDEAO », déclare le président de l’Urs.
Gora khouma de souligner que c’est ce dernier aspect qui a poussé les syndicalistes « à écrire au ministre des Affaires étrangères pour l’interpeller sur la situation de nos ressortissants sénégalais en dehors du Sénégal tel que le Mali et la Mauritanie».
S’agissant des tracasseries, poursuit-il : « le commandement avait réagit le mois dernier et avait invoquer le recul sur la façon de contrôler les véhicules. Mais il n'y a pas de suivi, tout est mis dans l’eau».
Gora Khouma de dénoncer : « Il y a plusieurs postes sur le long de la route et à chaque poste, on vous arrête, il n’ y a pas la présence de carnet de reçu. Le commandement avait dit qu’il faut impérativement un carnet de reçu. Ce qui importe pour les policiers qui sont sur la route, c’est uniquement l’argent : vous me donnez, vous passez ; vous ne donnez pas, vous ne passez pas ».
Nous interpellons les autorités pour qu’il y ait au moins du sérieux au niveau des contrôles routiers. « Nous en avons marre ».
« Nous avons déjà déposé les préavis de grève et nous comptons aller en grève le 10 juin si les négociations ne sont pas abouties entre le syndicat et les autorités sénégalaises. Les préavis comprennent deux points importants qui sont les tracasseries routières plus l’assurance CEDEAO », déclare le président de l’Urs.
Gora khouma de souligner que c’est ce dernier aspect qui a poussé les syndicalistes « à écrire au ministre des Affaires étrangères pour l’interpeller sur la situation de nos ressortissants sénégalais en dehors du Sénégal tel que le Mali et la Mauritanie».
S’agissant des tracasseries, poursuit-il : « le commandement avait réagit le mois dernier et avait invoquer le recul sur la façon de contrôler les véhicules. Mais il n'y a pas de suivi, tout est mis dans l’eau».
Gora Khouma de dénoncer : « Il y a plusieurs postes sur le long de la route et à chaque poste, on vous arrête, il n’ y a pas la présence de carnet de reçu. Le commandement avait dit qu’il faut impérativement un carnet de reçu. Ce qui importe pour les policiers qui sont sur la route, c’est uniquement l’argent : vous me donnez, vous passez ; vous ne donnez pas, vous ne passez pas ».
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