Aïda Ndiongue est revenu sur les détails de cette affaire. Elle a expliqué que Kalifatoulaye Coulibaly l’a traité de menteuse, ce qui l’a fait sortir de ses gonds. Ne pouvant plus se retenir, elle lui a administré une gifle. « Il m’a traité de menteuse et je l’ai giflé. J’étais trop en colère. Je ne me rappelle pas de tous les détails. Mais c’est une gifle que je ne regretterai jamais de ma vie », sert la prévenue au juge. Pour les injures et menaces, elle nie les avoir préférées à l’encontre de Kalifatoulaye Coulibaly. Mais le témoin Mame Fara Diop estime qu’Aïda Ndiongue l’a appelé au téléphone pour lui dire que si Kalifatoulaye Coulibaly ne fait pas attention, il va le faire éliminer physiquement. Ce que le plaignant n’a jamais dit et que tribunal n’a pas pris en compte.
Le substitut du procureur n’a pas hésité à qualifier le témoin, qui est agent des services d’hygiène, de mercenaire et de maître chanteur. La partie civile a réclamé la somme de 100 millions de F CFA pour la réparation de son préjudice. Le procureur de la République a demandé que les faits de menaces soient écartés puisque que rien dans le dossier ne le prouve. Il a sollicité qu’Aïda Ndiongue soit reconnue coupable des autres chefs d’inculpation et d’être condamnée à six (6) mois assortis avec sursis. Les avocats de la défense ont estimé que leur cliente, a fait le plus difficile en reconnaissant l’un des délits. Pour les autres infractions, ils disent que ce ne sont que des accusations sans preuves. Ils ont plaidé une bonne application de la loi. Le délibéré est prévu pour le 1er juillet prochain.
Le substitut du procureur n’a pas hésité à qualifier le témoin, qui est agent des services d’hygiène, de mercenaire et de maître chanteur. La partie civile a réclamé la somme de 100 millions de F CFA pour la réparation de son préjudice. Le procureur de la République a demandé que les faits de menaces soient écartés puisque que rien dans le dossier ne le prouve. Il a sollicité qu’Aïda Ndiongue soit reconnue coupable des autres chefs d’inculpation et d’être condamnée à six (6) mois assortis avec sursis. Les avocats de la défense ont estimé que leur cliente, a fait le plus difficile en reconnaissant l’un des délits. Pour les autres infractions, ils disent que ce ne sont que des accusations sans preuves. Ils ont plaidé une bonne application de la loi. Le délibéré est prévu pour le 1er juillet prochain.
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