Le verdict est tombé ce mardi dans l’affaire de tricherie lors des épreuves du Baccalauréat blanc au lycée Blaise Diagne de Dakar. K. A. Guèye, assistant du censeur dans cet établissement prestigieux, a été condamné à deux ans de prison, dont trois mois ferme, pour avoir facilité la fuite des sujets. Il devra également s’acquitter d’une amende de 100 000 francs CFA.
L’affaire, qui a suscité une vive indignation dans le milieu éducatif, remonte à la session du bac blanc de cette année. Selon les éléments de l’enquête, K. A. Guèye aurait transmis les épreuves à un groupe de candidats en amont des examens, compromettant ainsi l’intégrité de cette session préparatoire.
Au total, huit élèves impliqués dans ce réseau de tricherie ont comparu devant le tribunal. Quatre d’entre eux sont des filles, dont une était absente à l’audience. Tous ont comparu en liberté et ont reconnu les faits. Ils ont été condamnés à une amende de 50 000 francs CFA chacun.
Cette affaire remet sur la table la question de l’éthique dans les établissements scolaires, à l’approche des examens officiels. Elle met aussi en lumière les responsabilités partagées entre encadrement administratif et élèves dans la préservation des valeurs de transparence et de mérite.
Le ministère de l’Éducation nationale n’a pas encore officiellement réagi, mais cette décision de justice pourrait inciter à un renforcement des mesures de sécurité autour des examens, y compris les sessions blanches, souvent perçues comme un simple entraînement mais qui doivent rester un exercice de rigueur.
En attendant, K. A. Guèye passera trois mois derrière les barreaux, tandis que les élèves condamnés devront faire face à une sanction financière et, peut-être, à des conséquences disciplinaires au sein de leur établissement.
L’affaire, qui a suscité une vive indignation dans le milieu éducatif, remonte à la session du bac blanc de cette année. Selon les éléments de l’enquête, K. A. Guèye aurait transmis les épreuves à un groupe de candidats en amont des examens, compromettant ainsi l’intégrité de cette session préparatoire.
Au total, huit élèves impliqués dans ce réseau de tricherie ont comparu devant le tribunal. Quatre d’entre eux sont des filles, dont une était absente à l’audience. Tous ont comparu en liberté et ont reconnu les faits. Ils ont été condamnés à une amende de 50 000 francs CFA chacun.
Cette affaire remet sur la table la question de l’éthique dans les établissements scolaires, à l’approche des examens officiels. Elle met aussi en lumière les responsabilités partagées entre encadrement administratif et élèves dans la préservation des valeurs de transparence et de mérite.
Le ministère de l’Éducation nationale n’a pas encore officiellement réagi, mais cette décision de justice pourrait inciter à un renforcement des mesures de sécurité autour des examens, y compris les sessions blanches, souvent perçues comme un simple entraînement mais qui doivent rester un exercice de rigueur.
En attendant, K. A. Guèye passera trois mois derrière les barreaux, tandis que les élèves condamnés devront faire face à une sanction financière et, peut-être, à des conséquences disciplinaires au sein de leur établissement.
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