
Madame Josette Marceline Lopez NDIAYE, Observateur National des Lieux de Privation de Liberté (ONLPL) a pris part, les 03 et 04 décembre 2019 dernier, en Tunisie, au colloque international sur : « la classification des détenus, normes et réalités ».
Cette rencontre qui a réuni les Mécanisme Nationaux de Prévention (MNP) de la Torture du continent et d’ailleurs, visait à écarter des lieux de prévention de liberté, toute tentation d’une gestion basée sur des faveurs et des passe-droits.
A ce sujet, " le Colloque de Tunisie a rappelé que les normes internationales appellent d’une part à distinguer les régimes de détention des prévenus et des condamnés et d’autre part à prendre en compte les besoins particuliers des personnes détenues, considérées comme spécifiques ou vulnérables", lit-on dans le communiqué parvenu à PressafriK.
Des cours de formation et d’apprentissages ont été données aux détenus pour préparer leur réinsertion. Les échanges fructueux des participants ont ressorti le fait évident que, les Mécanisme Nationaux de Prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, institués en vertu du Protocole facultatif à la convention des Nations unies contre la torture (OPCAT), étant les seuls habilités à rendre des visites inopinées.
De ce fait, "ces organes de prévention de la torture peuvent obtenir des informations, les évaluer et savoir si les mesures appliquées dans un système de privation de liberté, sont nécessaires et proportionnées ou si elles sont appliquées de manière équitable et non discriminatoire", renseigne le document.
Cette rencontre qui a réuni les Mécanisme Nationaux de Prévention (MNP) de la Torture du continent et d’ailleurs, visait à écarter des lieux de prévention de liberté, toute tentation d’une gestion basée sur des faveurs et des passe-droits.
A ce sujet, " le Colloque de Tunisie a rappelé que les normes internationales appellent d’une part à distinguer les régimes de détention des prévenus et des condamnés et d’autre part à prendre en compte les besoins particuliers des personnes détenues, considérées comme spécifiques ou vulnérables", lit-on dans le communiqué parvenu à PressafriK.
Des cours de formation et d’apprentissages ont été données aux détenus pour préparer leur réinsertion. Les échanges fructueux des participants ont ressorti le fait évident que, les Mécanisme Nationaux de Prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, institués en vertu du Protocole facultatif à la convention des Nations unies contre la torture (OPCAT), étant les seuls habilités à rendre des visites inopinées.
De ce fait, "ces organes de prévention de la torture peuvent obtenir des informations, les évaluer et savoir si les mesures appliquées dans un système de privation de liberté, sont nécessaires et proportionnées ou si elles sont appliquées de manière équitable et non discriminatoire", renseigne le document.
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