Le président Erdogan avait déclaré le 26 juin, dans un communiqué, au sujet des opérations contre les municipalités du CHP : « Tous les documents sont disponibles. Malheureusement, la situation est désastreuse, non seulement à Istanbul, mais aussi dans d'autres provinces. » Quelques jours après ces propos, des opérations ont été lancées d'abord à Izmir, puis à Manavgat.
Des vidéos compromettantes ?
Dans le cas de la municipalité de Manavgat, la réaction du parti CHP est différente. Sur les réseaux sociaux, des vidéos qui montreraient des pots-de-vin reçus dans la mairie de Manavgat ont beaucoup circulé. Özgür Özel, le chef du parti, a annoncé avoir affecté deux enquêteurs sur cette affaire et s’est dit prêt à appliquer des « sanctions sévères ».
Il se distancie ainsi d’une affaire qui pourrait potentiellement ternir l’image de son parti, alors que selon lui, depuis mars, aucune preuve concrète n’a été présentée pour les accusations qui concernent le maire CHP d’Istanbul. Ekrem Imamoglu a été interpellé le 19 mars, incarcéré quatre jours plus tard et démis de ses fonctions par le ministre de l'Intérieur. La décision de son incarcération a d'ailleurs aggravé la colère qui traverse le pays et mené à des manifestations d'ampleur.
Des vidéos compromettantes ?
Dans le cas de la municipalité de Manavgat, la réaction du parti CHP est différente. Sur les réseaux sociaux, des vidéos qui montreraient des pots-de-vin reçus dans la mairie de Manavgat ont beaucoup circulé. Özgür Özel, le chef du parti, a annoncé avoir affecté deux enquêteurs sur cette affaire et s’est dit prêt à appliquer des « sanctions sévères ».
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