Au moins 1500 enseignants tuteurs de l’Université virtuelle du Sénégal (UVS) vivent dans le calvaire. Ils informent qu’ils sont restés 7 mois sans percevoir leurs salaires.
«Nous alertons l’opinion, les autorités surtout, sur le fait que les tuteurs de l’UVS sont restés plus de 7 mois et bien avant le mois d’avril sans percevoir aucun sou venant de l’UVS», informe le coordonnateur du collectif des enseignants tuteurs de l’UVS.
Moustapha Ndiaye rappelle que : «l’UVS est une université qui fonctionne à travers l’enseignement à distance et ceux sont les tuteurs qui jouent le rôle de relais entre les étudiants et la plateforme. Et, ils ont toujours préférés se sacrifier à leur détriment, leurs contrats ont été renégociés », peste-t-il. Et, d’ajouter : «ces tuteurs-là sont des pères de familles, donc vous imaginez leur calvaire. Il y a eu la fête de la Tabaski, la rentrée scolaire, et ils n’ont perçu aucun rond».
Ces enseignants qui disent être dans le désarroi soulignent qu’à plusieurs reprises, ils ont initié des mouvements, qu’ils ont dû surseoir suite à la demande des autorités de l’université. Mais, avance Moustapha Ndiaye sur la Rfm : «Il est temps que les gens prennent conscience des conditions que vivent ces enseignants ».
«Nous alertons l’opinion, les autorités surtout, sur le fait que les tuteurs de l’UVS sont restés plus de 7 mois et bien avant le mois d’avril sans percevoir aucun sou venant de l’UVS», informe le coordonnateur du collectif des enseignants tuteurs de l’UVS.
Moustapha Ndiaye rappelle que : «l’UVS est une université qui fonctionne à travers l’enseignement à distance et ceux sont les tuteurs qui jouent le rôle de relais entre les étudiants et la plateforme. Et, ils ont toujours préférés se sacrifier à leur détriment, leurs contrats ont été renégociés », peste-t-il. Et, d’ajouter : «ces tuteurs-là sont des pères de familles, donc vous imaginez leur calvaire. Il y a eu la fête de la Tabaski, la rentrée scolaire, et ils n’ont perçu aucun rond».
Ces enseignants qui disent être dans le désarroi soulignent qu’à plusieurs reprises, ils ont initié des mouvements, qu’ils ont dû surseoir suite à la demande des autorités de l’université. Mais, avance Moustapha Ndiaye sur la Rfm : «Il est temps que les gens prennent conscience des conditions que vivent ces enseignants ».
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