Exaspérant ! Un vaste de réseau de proxénétisme dirigé par un sénégalais du nom de Médoune Gueye a été démantelé par la Brigade des mœurs le 27 octobre dans la capitale sénégalaise. De riches arabes du Golfe et des aisés libidineux sénégalais achetaient des vidéos de filles sénégalaises nues. Cette activité délictuelle et très lucrative était dirigée de main de maître par le sieur Gueye, plus connu sous le pseudo de Nino, directeur d'une société de sérigraphie de la place.
Domicilié à la Patte d'Oie Bulders, Nino travaillait en adéquation avec sa copine Ndeye S. Diakhaté, serveuse au restaurant "Crystal Palace". C'est ainsi qu'il a choisi de faire de sa profession de sérigraphie, qui ne le nourrissait pas assez, un écran pour dissimuler on business de proxénète qui rapportait énormément de fric.
Pour mener à bien son activité, Gueye s'est doté d'appareils électroniques de dernière génération (tablettes, téléphones de marque dotés d'une grande résolution d'image) avant de créer une banque d'images (photos, vidéos). Il a ensuite appâté de gracieuses et gazéifiées sénégalaises adeptes du gain facile à qui il a fait miroiter la possibilité de s'enrichir au contact de pétrodollars, dont un riche prince de Dubaï et son frère et autres vicieux nantis sénégalais. Il parvient à enrôler dans un premier temps dix jeunes filles formellement identifiées dans les colonnes de L'Observateur.
Une fois le principe accepté, plusieurs filles se mettent à l'œuvre. Si certaines sont photographiées dans des positions à caractère pornographique, d'autres, plus ambitieuses, ont choisi de produire des films érotiques dignes des stripteaseuses des chaudes boîtes de nuit américaines. Des images et vidéos à caractère pornographique que Nino utilisait pour appâter ses richissimes clients de Dubaï et du Sénégal. Et il ne se limite pas à jouer les médiateurs sexuels, Gueye n'hésitait pas à organiser des parties de jambes en l'air rétribuées à coups de liasses de billets de banque, entre les filles et des personnalités nationales tirées de son carnet d'adresse
Domicilié à la Patte d'Oie Bulders, Nino travaillait en adéquation avec sa copine Ndeye S. Diakhaté, serveuse au restaurant "Crystal Palace". C'est ainsi qu'il a choisi de faire de sa profession de sérigraphie, qui ne le nourrissait pas assez, un écran pour dissimuler on business de proxénète qui rapportait énormément de fric.
Pour mener à bien son activité, Gueye s'est doté d'appareils électroniques de dernière génération (tablettes, téléphones de marque dotés d'une grande résolution d'image) avant de créer une banque d'images (photos, vidéos). Il a ensuite appâté de gracieuses et gazéifiées sénégalaises adeptes du gain facile à qui il a fait miroiter la possibilité de s'enrichir au contact de pétrodollars, dont un riche prince de Dubaï et son frère et autres vicieux nantis sénégalais. Il parvient à enrôler dans un premier temps dix jeunes filles formellement identifiées dans les colonnes de L'Observateur.
Une fois le principe accepté, plusieurs filles se mettent à l'œuvre. Si certaines sont photographiées dans des positions à caractère pornographique, d'autres, plus ambitieuses, ont choisi de produire des films érotiques dignes des stripteaseuses des chaudes boîtes de nuit américaines. Des images et vidéos à caractère pornographique que Nino utilisait pour appâter ses richissimes clients de Dubaï et du Sénégal. Et il ne se limite pas à jouer les médiateurs sexuels, Gueye n'hésitait pas à organiser des parties de jambes en l'air rétribuées à coups de liasses de billets de banque, entre les filles et des personnalités nationales tirées de son carnet d'adresse
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