Le service de cardiologie de l’hôpital de Fann porte à la connaissance des populations sur les risques que court le malades si rien n’est fait. Il s’agit plus précisément de la prise en charge des malades victimes d’infarctus du myocarde ou de crise cardiaque.
Selon Seneweb qui cite une source sanitaire, l’absence d’une prise en charge dans les heures qui suivent peut entraîner de fâcheuses conséquences voire la mort : « ce problème qui dure depuis bientôt 2 mois est consécutif à une altercation entre deux médecins du service (le chef de service et un de ses adjoints). Le conflit est lié d’une part au changement de poste d’une infirmière et la gestion financière nébuleuse concernant la vente de matériels ou la facturation de certains examens au sein même dudit service, au détriment de l’hôpital ».
Par ailleurs, « cette situation a occasionné un climat délétère pour la bonne prise en charge des malades par : le refus d’admettre les malades victimes d’infarctus du myocarde ou de crise cardiaque (car les opérateurs principaux ont été interdits d’accès au bloc depuis le conflit). Le SAMU a du mal à trouver de la place pour les infarctus, une prise en charge non optimale par manque de médecins aguerris, l’allongement de la liste d’attente pour les malades programmés suite à des annulations, le retard de prise en charge des malades hospitalisés l’exclusion de certains patients ». Ce contexte est très préoccupant au regard de la gravité de la maladie dont ces patients souffrent.
La même source informe que le Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal (SAMES/Fann) et le SAES/FMPOS sont en train de se mobiliser pour contraindre le chef de service de cardiologie de Fann, la Direction de l’hôpital, le ministère de la Santé et les autorités universitaires à résoudre cette situation gravissime. La salle d’angiographie de Fann est un bien public commun pour tous les patients » informe-t-elle. Et d’inviter les plus hautes autorités de ce pays à prendre des mesures idoines pour solutionner ce problème afin de sauver des vies en conformité avec le (Jubb, Jubal, Jubanti).
Selon Seneweb qui cite une source sanitaire, l’absence d’une prise en charge dans les heures qui suivent peut entraîner de fâcheuses conséquences voire la mort : « ce problème qui dure depuis bientôt 2 mois est consécutif à une altercation entre deux médecins du service (le chef de service et un de ses adjoints). Le conflit est lié d’une part au changement de poste d’une infirmière et la gestion financière nébuleuse concernant la vente de matériels ou la facturation de certains examens au sein même dudit service, au détriment de l’hôpital ».
Par ailleurs, « cette situation a occasionné un climat délétère pour la bonne prise en charge des malades par : le refus d’admettre les malades victimes d’infarctus du myocarde ou de crise cardiaque (car les opérateurs principaux ont été interdits d’accès au bloc depuis le conflit). Le SAMU a du mal à trouver de la place pour les infarctus, une prise en charge non optimale par manque de médecins aguerris, l’allongement de la liste d’attente pour les malades programmés suite à des annulations, le retard de prise en charge des malades hospitalisés l’exclusion de certains patients ». Ce contexte est très préoccupant au regard de la gravité de la maladie dont ces patients souffrent.
La même source informe que le Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal (SAMES/Fann) et le SAES/FMPOS sont en train de se mobiliser pour contraindre le chef de service de cardiologie de Fann, la Direction de l’hôpital, le ministère de la Santé et les autorités universitaires à résoudre cette situation gravissime. La salle d’angiographie de Fann est un bien public commun pour tous les patients » informe-t-elle. Et d’inviter les plus hautes autorités de ce pays à prendre des mesures idoines pour solutionner ce problème afin de sauver des vies en conformité avec le (Jubb, Jubal, Jubanti).
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