
La Section de recherches (Sr) a procédé à l’arrestation de 17 ressortissants nigérians. Les mis en cause qui vivaient dans un appartement sis à Guédiawaye au quartier Nimzatt, dans la banlieue dakaroise, sont poursuivis pour association de malfaiteurs, escroquerie, usurpations d’identités numériques et complicité.
Il s’agit d'Abigal Young, Maduka Chukwuma, Eboh Ikenna, Sylvanus Ifeanyi, Izuchunwu Ukroko, Obizua Ebuka, Chirronse Emma Nwalenkeza, Chinedu Chini, Eze Opkamorka, Edere Odum, Christian Uchechukwu et China Okono.
Selon Libération qui donne l’information dans sa parution de ce jeudi, leur interpellation a été possible grâce à un renseignement que les gendarmes ont reçu.
Lors d’une perquisition dans l’appartement, les limiers ont saisi 37 téléphones portables et 14 ordinateurs. L’exploitation des appareils ont permis aux gendarmes d’établir que les mis en cause s’activaient à des activités illicites sur internet.
Par exemple, précise la même source, grâce à des profils de femmes usurpés, ils ont pu hameçonner plusieurs hommes mariés qui ont commis l’erreur d’envoyer leurs vidéos intimes. Des femmes qui croyaient aussi échanger avec des militaires américains ou des riches héritiers, se sont retrouvées dans le même piège.
Les présumés malfaiteurs ont été déférés devant le parquet.
Il s’agit d'Abigal Young, Maduka Chukwuma, Eboh Ikenna, Sylvanus Ifeanyi, Izuchunwu Ukroko, Obizua Ebuka, Chirronse Emma Nwalenkeza, Chinedu Chini, Eze Opkamorka, Edere Odum, Christian Uchechukwu et China Okono.
Selon Libération qui donne l’information dans sa parution de ce jeudi, leur interpellation a été possible grâce à un renseignement que les gendarmes ont reçu.
Lors d’une perquisition dans l’appartement, les limiers ont saisi 37 téléphones portables et 14 ordinateurs. L’exploitation des appareils ont permis aux gendarmes d’établir que les mis en cause s’activaient à des activités illicites sur internet.
Par exemple, précise la même source, grâce à des profils de femmes usurpés, ils ont pu hameçonner plusieurs hommes mariés qui ont commis l’erreur d’envoyer leurs vidéos intimes. Des femmes qui croyaient aussi échanger avec des militaires américains ou des riches héritiers, se sont retrouvées dans le même piège.
Les présumés malfaiteurs ont été déférés devant le parquet.
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