La décision de la Cour de la Cedeao consistant à débouter les requêtes de Khalifa Ababacar Sall constitue une victoire «morale» pour les avocats de l’Etat mais aussi, pour nos institutions. C’est ce que fait savoir Me Ousmane Diagne, qui s’est réjoui de ce verdict.
«Aujourd’hui, la Cour a constaté avant de les débouter qu’il n’y avait aucune urgence à prendre des mesures urgentes telles que sollicitées pour faire face à des violations de droit de l’homme et des droits de la défense », a-t-il déclaré.
Et Me Diagne de poursuivre : «Ce qui fait qu’aujourd’hui le procès va continuer tranquillement quant au fond comme ce qui est en train d’être abordé à Dakar en ce moment».
Cette décision n’a pas de lien direct avec le procès, déclare la robe noire parce que, explique-t-il, «la Cour a pour objet d’harmoniser l’application des règles universelles des Etats qui la composent. Donc on ne peut pas dire que c’est un degré de juridiction supérieur à nos juridictions nationales».
N’empêche, reconnaît-il, «d’un point de vue moral, c’est une victoire parce que tout simplement, c’est eux qui sont allés là-bas. Et leur objectif était de paralyser le procès».
«Aujourd’hui, la Cour a constaté avant de les débouter qu’il n’y avait aucune urgence à prendre des mesures urgentes telles que sollicitées pour faire face à des violations de droit de l’homme et des droits de la défense », a-t-il déclaré.
Et Me Diagne de poursuivre : «Ce qui fait qu’aujourd’hui le procès va continuer tranquillement quant au fond comme ce qui est en train d’être abordé à Dakar en ce moment».
Cette décision n’a pas de lien direct avec le procès, déclare la robe noire parce que, explique-t-il, «la Cour a pour objet d’harmoniser l’application des règles universelles des Etats qui la composent. Donc on ne peut pas dire que c’est un degré de juridiction supérieur à nos juridictions nationales».
N’empêche, reconnaît-il, «d’un point de vue moral, c’est une victoire parce que tout simplement, c’est eux qui sont allés là-bas. Et leur objectif était de paralyser le procès».
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