Cette attaque, inhabituelle, s'est déroulée mardi à l'aube dans le district de Yumbe, dans la région du West Nile, frontalière du Soudan du Sud.
"La police a appris que 20 civils avaient été enlevés par les membres présumés d'une milice sud-soudanaise", a déclaré vendredi à l'AFP un responsable policier local, Ignatius Otong.
M. Otong n'a pas expliqué pourquoi la police soupçonnait des rebelles sud-soudanais d'être les auteurs de ce rapt, mais il a précisé que les forces de sécurité ougandaises travaillaient de concert avec leurs homologues sud-soudanaises sur ce dossier.
"Le groupe responsable de cet enlèvement en paiera le prix et les otages seront secourus", a-t-il promis.
Le Soudan du Sud a plongé dans une guerre civile meurtrière et dévastatrice en décembre 2013. Le chef rebelle, Riek Machar, a toutefois regagné la capitale Juba en avril dans le cadre d'un accord de paix, devenant le vice-président et formant un gouvernement d'unité nationale avec le président Salva Kiir.
Mais les combats se poursuivent dans diverses parties du pays, alimentés par des milices aux agendas souvent locaux et qui ne s'estiment pas tenues à l'accord de paix.
Source: La voix de l'Amérique
"La police a appris que 20 civils avaient été enlevés par les membres présumés d'une milice sud-soudanaise", a déclaré vendredi à l'AFP un responsable policier local, Ignatius Otong.
M. Otong n'a pas expliqué pourquoi la police soupçonnait des rebelles sud-soudanais d'être les auteurs de ce rapt, mais il a précisé que les forces de sécurité ougandaises travaillaient de concert avec leurs homologues sud-soudanaises sur ce dossier.
"Le groupe responsable de cet enlèvement en paiera le prix et les otages seront secourus", a-t-il promis.
Le Soudan du Sud a plongé dans une guerre civile meurtrière et dévastatrice en décembre 2013. Le chef rebelle, Riek Machar, a toutefois regagné la capitale Juba en avril dans le cadre d'un accord de paix, devenant le vice-président et formant un gouvernement d'unité nationale avec le président Salva Kiir.
Mais les combats se poursuivent dans diverses parties du pays, alimentés par des milices aux agendas souvent locaux et qui ne s'estiment pas tenues à l'accord de paix.
Source: La voix de l'Amérique
Autres articles
-
Présidentielle en Guinée: le taux de participation estimé à 85% rejeté par l'opposition
-
Mauritanie: les flux de réfugiés maliens s'intensifient, selon l'ONU
-
Ouest de la RDC: le groupe Mobondo qualifié de rebelle par l'armée, pas par certains chercheurs
-
Extraction aurifère au Ghana: comment une mobilisation citoyenne préserve la forêt?
-
Soudan: après trois ans de guerre, quels espoirs pour 2026?





Présidentielle en Guinée: le taux de participation estimé à 85% rejeté par l'opposition


