À l’occasion de son séjour dans la capitale sénégalaise (Dakar), Biram Ould Dah Abeid, leader de l'Ira et chef de l'opposition mauritanienne, fera à Jamra l'honneur d'une visite de courtoisie, ce mardi 11 mai 2021, à 16 heures, selon un communiqué de Jamra parvenu à PressAfrik.
Pour rappel, Biram Ould Dah Abeid, leader de l'Ira (Initiative pour la Résurgence du Mouvement Abolitionniste), avait été arrêté à son domicile le mardi 07 août 2018. Élu député le 1er septembre 2019, alors qu'il était toujours en prison, l’opposant, militant anti-esclavagiste, arrivé 2è lors de la présidentielle de 2019, est le Lauréat du Prix des Droits de l'Homme des Nations-Unies en 2013. Il est aussi le Docteur honoris causa de la Katholieke Universiteit Leuven, Belgique, en 2019.
Libéré au terme de son procès en Correctionnel tenu le lundi 31 décembre 2018, il poursuit à présent au Parlement mauritanien son légitime combat contre l'ostracisme dont sont l'objet les "Haratines". Selon ce communiqué, les Mauritaniens de race noire de la part du pouvoir en place, accuse le chef de file du Mouvement Abolitionniste, Biram Ould, de "radicalisme".
D’après ce même communiqué de l’Ong Islamique Jamra, ils avaient, dans une déclaration du bureau exécutif, « rendue publique au lendemain de l'arrestation de ce vaillant leader anti-esclavagiste, le 07 août 2018, exprimé toute sa solidarité aux combattants démocrates du peuple frère de Mauritanie, particulièrement aux Négro-Mauritaniens, toujours victimes, en plein 21e siècle, d'un inadmissible apartheid qui ne dit pas son nom ».
« Jamra a régulièrement exprimé son indignation sur les violations flagrantes des droits humains, dans ce pays qui proclame pourtant urbi et orbi avoir officiellement aboli l'esclavage depuis.... le 05 juillet 1980 ! »
Pour cette rencontre, Jamra invite cordialement la presse nationale et internationale.
Pour rappel, Biram Ould Dah Abeid, leader de l'Ira (Initiative pour la Résurgence du Mouvement Abolitionniste), avait été arrêté à son domicile le mardi 07 août 2018. Élu député le 1er septembre 2019, alors qu'il était toujours en prison, l’opposant, militant anti-esclavagiste, arrivé 2è lors de la présidentielle de 2019, est le Lauréat du Prix des Droits de l'Homme des Nations-Unies en 2013. Il est aussi le Docteur honoris causa de la Katholieke Universiteit Leuven, Belgique, en 2019.
Libéré au terme de son procès en Correctionnel tenu le lundi 31 décembre 2018, il poursuit à présent au Parlement mauritanien son légitime combat contre l'ostracisme dont sont l'objet les "Haratines". Selon ce communiqué, les Mauritaniens de race noire de la part du pouvoir en place, accuse le chef de file du Mouvement Abolitionniste, Biram Ould, de "radicalisme".
D’après ce même communiqué de l’Ong Islamique Jamra, ils avaient, dans une déclaration du bureau exécutif, « rendue publique au lendemain de l'arrestation de ce vaillant leader anti-esclavagiste, le 07 août 2018, exprimé toute sa solidarité aux combattants démocrates du peuple frère de Mauritanie, particulièrement aux Négro-Mauritaniens, toujours victimes, en plein 21e siècle, d'un inadmissible apartheid qui ne dit pas son nom ».
« Jamra a régulièrement exprimé son indignation sur les violations flagrantes des droits humains, dans ce pays qui proclame pourtant urbi et orbi avoir officiellement aboli l'esclavage depuis.... le 05 juillet 1980 ! »
Pour cette rencontre, Jamra invite cordialement la presse nationale et internationale.
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