Dans un communiqué publié ce 29 décembre 2024, le Secrétariat exécutif national du Front pour une révolution anti-impérialiste, populaire et panafricaine (FRAPP) a exprimé sa vive consternation suite à la récente visite du ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Daouda Ngom, sur le site de Grande Côte Opérations (GCO), une filiale du groupe Eramet. Le FRAPP critique sévèrement l'attitude des autorités sénégalaises face à la destruction de l'écosystème des Niayes, notamment en ce qui concerne les impacts environnementaux causés par l’exploitation du zircon par l’entreprise GCO.
L’organisation dénonce le fait que le ministre se soit rendu sur place sans prendre en compte les préoccupations des populations locales, qui ont manifesté en masse le samedi 28 décembre pour protester contre les destructions infligées à leur environnement. Selon le FRAPP, il est "inconcevable" qu’un ministre puisse se rendre sur le site uniquement pour recueillir la version de l’entreprise responsable, tout en ignorant les voix des populations directement touchées par ces destructions écologiques majeures. Le communiqué soulève des questions sur la transparence et l’impartialité des autorités sénégalaises face à ces enjeux environnementaux et sociaux.
Le FRAPP rappelle que la Constitution sénégalaise garantit à chaque citoyen le droit à un environnement sain et à la protection des ressources naturelles, tant pour les générations présentes que futures. À ce titre, le mouvement appelle le ministre de l’Environnement à organiser une rencontre officielle avec les populations des Niayes afin de prendre en compte leurs doléances et préoccupations. L’organisation plaide également pour la mise en place d’une gestion réellement souveraine des ressources naturelles, respectueuse des droits environnementaux des citoyens, et pour des actions concrètes qui traduiraient les engagements du Premier ministre Ousmane Sonko "en faveur d’un gouvernement plus proche des populations".
Le FRAPP a insisté sur la nécessité d’un dialogue authentique et d’une véritable prise en compte des impacts environnementaux dans la gestion des ressources naturelles du pays, rappelant que la protection de l’écosystème et des droits des populations ne doivent pas être reléguées au second plan dans les décisions politiques et économiques.
L’organisation dénonce le fait que le ministre se soit rendu sur place sans prendre en compte les préoccupations des populations locales, qui ont manifesté en masse le samedi 28 décembre pour protester contre les destructions infligées à leur environnement. Selon le FRAPP, il est "inconcevable" qu’un ministre puisse se rendre sur le site uniquement pour recueillir la version de l’entreprise responsable, tout en ignorant les voix des populations directement touchées par ces destructions écologiques majeures. Le communiqué soulève des questions sur la transparence et l’impartialité des autorités sénégalaises face à ces enjeux environnementaux et sociaux.
Le FRAPP rappelle que la Constitution sénégalaise garantit à chaque citoyen le droit à un environnement sain et à la protection des ressources naturelles, tant pour les générations présentes que futures. À ce titre, le mouvement appelle le ministre de l’Environnement à organiser une rencontre officielle avec les populations des Niayes afin de prendre en compte leurs doléances et préoccupations. L’organisation plaide également pour la mise en place d’une gestion réellement souveraine des ressources naturelles, respectueuse des droits environnementaux des citoyens, et pour des actions concrètes qui traduiraient les engagements du Premier ministre Ousmane Sonko "en faveur d’un gouvernement plus proche des populations".
Le FRAPP a insisté sur la nécessité d’un dialogue authentique et d’une véritable prise en compte des impacts environnementaux dans la gestion des ressources naturelles du pays, rappelant que la protection de l’écosystème et des droits des populations ne doivent pas être reléguées au second plan dans les décisions politiques et économiques.
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