Le bureau du Syndicat national des travailleurs de la santé (SYNTRAS) de l’hôpital régional de Ziguinchor (sud) a tenu, jeudi, un sit-in pour dénoncer “la gestion et le management” du directeur de cet établissement sanitaire. En brassards rouges, des blouses blanches affiliés au SYNTRAS ont déserté dans la matinée les salles de consultation, leurs bureaux et autres postes.
« Nous nous sommes levés parce que nous voyons que l’hôpital est à genoux. Les travailleurs qui sont ici vont en retraite ne gagne pas leur pension. Deuxièmement, nous nous sommes recrutés par l’ancienneté. Aujourd’hui, on est arrivé pour le recrutement des stagiaires, il ne veut pas respecter l’ancienneté, il veut recruter par copinage. Nous avons une radio de dernière génération, jusqu’à présent cette radio-là, n’est pas fonctionnelle. Donc, nous ne pouvons pas accepter que l’hôpital soit en genou. L’incompétence du Directeur est due à lui-même. Il fait des promesses qu’il ne tient pas. Ce qui montre son incompétence », a dénoncé Boubacar Diémé leur porte-parole.
« Les travailleurs sont confrontés à plusieurs difficultés qui impactent négativement la qualité de la prise en charge des populations. Notre hôpital est à genoux. Nous avons signé un protocole d’accord avec le directeur, mais malheureusement, ce dernier ne respecte pas ce que dit le protocole d’accord. Il fait la sourde oreille », a-t-il dit, avant de tirer sur le conseil d’administration de l’hôpital régional de Ziguinchor qui, dit-il, ne se soucie pas du personnel et des malades.
Le directeur de l’hôpital régional de Ziguinchor Ndiamé Diop, qui balaie d’un revers de main toutes ces accusations, soutient que les grévistes cherchent plutôt “la petite bête” dans sa gestion.
« Nous sommes en train de faire de notre mieux. Pourquoi ils sont revenus à la charge après avoir signé un protocole d’accord où il y a 13 points qui sont en train d’être suivis et résolus. Cette grève est illégale parce qu'après un préavis, nous avons signé un protocole qui est en train d’être suivi », a réagi M. Ndiamé Diop au micro de Walf radio.
« Nous nous sommes levés parce que nous voyons que l’hôpital est à genoux. Les travailleurs qui sont ici vont en retraite ne gagne pas leur pension. Deuxièmement, nous nous sommes recrutés par l’ancienneté. Aujourd’hui, on est arrivé pour le recrutement des stagiaires, il ne veut pas respecter l’ancienneté, il veut recruter par copinage. Nous avons une radio de dernière génération, jusqu’à présent cette radio-là, n’est pas fonctionnelle. Donc, nous ne pouvons pas accepter que l’hôpital soit en genou. L’incompétence du Directeur est due à lui-même. Il fait des promesses qu’il ne tient pas. Ce qui montre son incompétence », a dénoncé Boubacar Diémé leur porte-parole.
« Les travailleurs sont confrontés à plusieurs difficultés qui impactent négativement la qualité de la prise en charge des populations. Notre hôpital est à genoux. Nous avons signé un protocole d’accord avec le directeur, mais malheureusement, ce dernier ne respecte pas ce que dit le protocole d’accord. Il fait la sourde oreille », a-t-il dit, avant de tirer sur le conseil d’administration de l’hôpital régional de Ziguinchor qui, dit-il, ne se soucie pas du personnel et des malades.
Le directeur de l’hôpital régional de Ziguinchor Ndiamé Diop, qui balaie d’un revers de main toutes ces accusations, soutient que les grévistes cherchent plutôt “la petite bête” dans sa gestion.
« Nous sommes en train de faire de notre mieux. Pourquoi ils sont revenus à la charge après avoir signé un protocole d’accord où il y a 13 points qui sont en train d’être suivis et résolus. Cette grève est illégale parce qu'après un préavis, nous avons signé un protocole qui est en train d’être suivi », a réagi M. Ndiamé Diop au micro de Walf radio.
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