C'est devenu une bien triste habitude de détourner les deniers publics sous nos cieux. Cette fois, c'est le bureau de la poste de Mbour qui en a fait les frais. C'est plus d'une quinzaine de millions qui ont disparu des caisses de la poste. Le contrôleur principal, Athie Sarr est impliquée dans ce scandale financier ainsi quatre (4) autres caissiers de la boîte. Tout est parti des réclamations des clients qui ont fait part aux autorités postales que leurs comptes ont été amputés de sommes importantes sans qu'ils en soient informés. Aussitôt, un contrôle interne sera commandité dans la plus grande discrétion par le receveur qui a découvert des anomalies.
Au bout des investigations menées par la direction de l'inspection postale et de l'audit, des manquements ont été décèles dans les comptes des clients disposant de fortes sommes d'argent. Comme mode opératoire, le contrôleur remettait le chèque d'un client sans la présidence physique, aux guichets et le caissier payaient sans se posait des questions et remettait l'argent à leur chef Athie Sarr.
Selon des sources proches de la poste, l'implication des caissiers dans cette affaire de détournement est due à la confiance qu'ils vouaient à leur chef. Mais les enquêteurs de la gendarmerie, qui se confient au journal "l'Observateur", leur implication ne soufre d'aucune ambiguïté puisqu'ils devaient vérifier les signatures et aussi exiger la présence physique du client pour le paiement.
Au bout des investigations menées par la direction de l'inspection postale et de l'audit, des manquements ont été décèles dans les comptes des clients disposant de fortes sommes d'argent. Comme mode opératoire, le contrôleur remettait le chèque d'un client sans la présidence physique, aux guichets et le caissier payaient sans se posait des questions et remettait l'argent à leur chef Athie Sarr.
Selon des sources proches de la poste, l'implication des caissiers dans cette affaire de détournement est due à la confiance qu'ils vouaient à leur chef. Mais les enquêteurs de la gendarmerie, qui se confient au journal "l'Observateur", leur implication ne soufre d'aucune ambiguïté puisqu'ils devaient vérifier les signatures et aussi exiger la présence physique du client pour le paiement.
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