En prison depuis près de trois (3) mois dans le cadre de la traque des biens mal acquis, l’ancien ministre d’Etat, Karim Wade vient d’avoir un soutien de taille au-delà de nos frontières. Un mouvement dénommé Actions de Solidarité et de Soutien à Karim Wade (ASS-KAW) a été porté sur les fonts baptismaux ce samedi à Paris. Ce mouvement a pour objectif de s’ériger en défenseur du fils de l’ancien président de la République dans les mailles de la justice depuis le 17 avril dernier pour malversations financières. Les initiateurs entendent par ailleurs dénoncer ce qu’ils appellent un acharnement sur la personne de Karim Wade, en demandant notamment sa libération.
Le quotidien « L’observateur » nous apprend toutefois que le mouvement ASS-Kaw est dirigé par Hélène Della Chaupin qui n’est personne d’autre que la demi-sœur de Souleymane Jules Diop, récemment installé à la tête de la Cellule de Communication de la Présidence de la République, après s’être dressé contre la famille Wade alors au pouvoir, par le biais de ses chroniques qu’il animait depuis le Canada.
Le quotidien « L’observateur » nous apprend toutefois que le mouvement ASS-Kaw est dirigé par Hélène Della Chaupin qui n’est personne d’autre que la demi-sœur de Souleymane Jules Diop, récemment installé à la tête de la Cellule de Communication de la Présidence de la République, après s’être dressé contre la famille Wade alors au pouvoir, par le biais de ses chroniques qu’il animait depuis le Canada.
Autres articles
-
Retard de salaires, conditions de travail, manque de transparence dans la gestion des affaires de l’entreprise : les travailleurs du groupe de presse Emedia broient du noir
-
Surproduction d'oignons et mévente : les producteurs de la zone des Niayes réclament des chambres froides
-
Souveraineté alimentaire : un programme agricole mise sur la chaine de valeur riz
-
Insalubrité dans les restaurants de l’université de Bambey : une commission auxiliaire de protection civile envisagée
-
Droits humains et liberté d’expression : Seydi Gassama plaide pour l’abolition de l’arrêté « Ousmane Ngom »