En détention préventive depuis novembre 2017 pour trouble à l’ordre public, injures par le biais d’un système informatique et outrage à un ministre du culte et diffamation Assane Diouf attend toujours son jugement. Une situation qui n’est pas du goût de l’opinion internationale.
Pas moins de neuf lettres ont été adressées à Dakar, a révélé le journal «Les Echos». D’abord, le 27 février dernier, c'est le secrétaire général d’Amnesty international qui dénonce l’injustice que subirait Assane Diouf. Le 9 mars, le commissaire des Nations-Unis pour les réfugiés saisit les autorités sénégalaises pour s’inquiéter de la situation. Ensuite, le 9 avril, le procureur général américain et directeur exécutif de Human Rights, Kenneth Roth, écrit au ministère de la Justice pour s’enquérir des lenteurs de l’affaire.
Pas moins de neuf lettres ont été adressées à Dakar, a révélé le journal «Les Echos». D’abord, le 27 février dernier, c'est le secrétaire général d’Amnesty international qui dénonce l’injustice que subirait Assane Diouf. Le 9 mars, le commissaire des Nations-Unis pour les réfugiés saisit les autorités sénégalaises pour s’inquiéter de la situation. Ensuite, le 9 avril, le procureur général américain et directeur exécutif de Human Rights, Kenneth Roth, écrit au ministère de la Justice pour s’enquérir des lenteurs de l’affaire.
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