Selon le service de presse de l'Elysée, siège officiel de la présidence de la République Française, François Hollande va recevoir le Pr Alpha Condé ce lundi 2 juillet à 18 heures (heures locales) pour un entretien.
Pour l’heure, l’objet del’entretien n’a pas été annoncé. Mais selon les observateurs bien avertis, le sujet de l'organisation d'élections législatives en Guinée pour parachever la transition sera à l'ordre du jour. La France, comme la majeure partie des institutions internationales exige des élections législatives « libres et démocratiques » en Guinée comme condition pour résumer la coopération économique qui pourrait aider le pays qui fait face à une crise économique persistante essentiellement due à la mauvaise gouvernance. Près de deux ans après les élections présidentielles, les législatives tardent toujours à donner une institution représentative de l'électorat guinéen.
Dans un entretien avec un organe de presse français, Alpha Condé avait réagi sur l'arrivée du nouveau président Hollande en ces termes : « Ce que nous attendons, c'est davantage de concertation entre l'Afrique et la France. Une évaluation plus exacte des situations qui prévalent dans chacun des pays africains. Cela éviterait quelques malentendus dans les rapports entre pays souverains » et à ajouté «Hollande n'a pas de réseaux africains, donc pas de contraintes».
Une forte communauté guinéenne est présente en France et est généralement divisée entre partisans et adversaires d'Alpha Condé. Les deux camps avaient parlé de manifester pour ou contre le président guinéen lors de sa visite, selon l’organe de presse guinéen guineenews.
Pour l’heure, l’objet del’entretien n’a pas été annoncé. Mais selon les observateurs bien avertis, le sujet de l'organisation d'élections législatives en Guinée pour parachever la transition sera à l'ordre du jour. La France, comme la majeure partie des institutions internationales exige des élections législatives « libres et démocratiques » en Guinée comme condition pour résumer la coopération économique qui pourrait aider le pays qui fait face à une crise économique persistante essentiellement due à la mauvaise gouvernance. Près de deux ans après les élections présidentielles, les législatives tardent toujours à donner une institution représentative de l'électorat guinéen.
Dans un entretien avec un organe de presse français, Alpha Condé avait réagi sur l'arrivée du nouveau président Hollande en ces termes : « Ce que nous attendons, c'est davantage de concertation entre l'Afrique et la France. Une évaluation plus exacte des situations qui prévalent dans chacun des pays africains. Cela éviterait quelques malentendus dans les rapports entre pays souverains » et à ajouté «Hollande n'a pas de réseaux africains, donc pas de contraintes».
Une forte communauté guinéenne est présente en France et est généralement divisée entre partisans et adversaires d'Alpha Condé. Les deux camps avaient parlé de manifester pour ou contre le président guinéen lors de sa visite, selon l’organe de presse guinéen guineenews.
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