Khalifa Sall a fait une apparition hier à Touba. En marge d’une audience avec Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké, porte-parole du Khalife général des mourides, Khalifa Sall a pris fait et cause pour son ex-camarade de parti, Malick Noël Seck, initiateur du contre sommet de l’Oif. Selon le maire de la Dakar, l’interdiction du contre-sommet est un recul démocratique qui n’honore pas le Sénégal, l’une des plus vieilles démocraties d’Afrique.
« Ce n’est pas une décision heureuse, il est de coutume dans les fora internationaux dans tous les réunions ou sommets, qu’il y ait des contre-manifestations. Nous devons donc leur créer les conditions pour qu’ils puissent s’exprimer surtout que cela irrigue et contribue à la réflexion qui est menée par ceux qui sont aux sommets. Donc je suis d’avis que l’interdiction n’était pas une bonne chose », a-t-il dit. Pour lui, cela ne doit pas servir de porte ouvert à la dérive.
« Ce n’est pas une décision heureuse, il est de coutume dans les fora internationaux dans tous les réunions ou sommets, qu’il y ait des contre-manifestations. Nous devons donc leur créer les conditions pour qu’ils puissent s’exprimer surtout que cela irrigue et contribue à la réflexion qui est menée par ceux qui sont aux sommets. Donc je suis d’avis que l’interdiction n’était pas une bonne chose », a-t-il dit. Pour lui, cela ne doit pas servir de porte ouvert à la dérive.
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