L’ancien N°2 du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) s’est dit peiné par le discours servi par le Président de la République, Me Abdoulaye Wade le 14 juillet dernier lors de sa rencontre avec ses élus. Idrissa Seck a indiqué, au cours d'une émission combinée de la RFM et de la TFM (Grand jury et Et si on en parlait)., qu’il a été «profondément attristé par le discours du chef de l’Etat et ou du secrétaire général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS)». Selon lui, pour qu’un discours soit beau, il faut qu’il le soit en style et en sens. Or dans la forme comme dans le fond, ce discours du Président de la République a déçu les populations et a déçu toutes les attentes. «J’aurais souhaité que le Président de la République, à un moment aussi sérieux, aussi solennelle de la vie nationale et de sa carrière politique qui se termine, puisse s’élever à la dignité de sa fonction et de sa charge parce qu’après s’être paré de tous les attributs de l’Etat et du pouvoir, entouré de toutes nos forces de sécurités, il a tenu un meeting de parti politique».
Dans le fond, dit-il, «la seule chose qui était attendu, c’était que le Président de la République honore son serment de respecter la constitution du Sénégal, les lois, le calendrier républicain et de ne faire que cela, de s’adresser aux populations en leur disant des choses concrètes sur la prise en charge de leur préoccupation du moment dont les plus importantes sont l’accès à une fourniture régulière d’électricité et à un habitat non pollué par des inondations, à l’emploi des jeunes». Au lieu de cela, ajoute-t-il, il aligne une série de promesse. «Cela m’a profondément attristé d’entendre le Président de la République dire wakh/wakhète, cela m’a profondément peiné» avoue-t-il.
Dans le fond, dit-il, «la seule chose qui était attendu, c’était que le Président de la République honore son serment de respecter la constitution du Sénégal, les lois, le calendrier républicain et de ne faire que cela, de s’adresser aux populations en leur disant des choses concrètes sur la prise en charge de leur préoccupation du moment dont les plus importantes sont l’accès à une fourniture régulière d’électricité et à un habitat non pollué par des inondations, à l’emploi des jeunes». Au lieu de cela, ajoute-t-il, il aligne une série de promesse. «Cela m’a profondément attristé d’entendre le Président de la République dire wakh/wakhète, cela m’a profondément peiné» avoue-t-il.
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