Le Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) invite le gouvernement à proroger la date de la révision des listes électorales pour la présidentielle de 2024.
"En vue d'assurer une participation qualitative et quantitative des citoyens au scrutin présidentiel, le COSCE demande à l'État du Sénégal de rallonger le délai de révision des listes électorales afin de permettre une inscription massive des citoyens sénégalais", a plaidé Alassane Seck de la Ligue Sénégalaise de droit de l'Homme, face à la presse ce lundi.
En effet, le COSCE estime que la période "d'un mois allouée à cette étape clé du processus électoral est trop courte", alors la société civile veut que celle-ci soit prorogée pour un "délai de 2 mois".
C'est à dire après le délai du 6 avril au 6 mai 2023, consacré à la révision, comme l'indique le décret, nous souhaiterons que le président Macky prenne un autre décret rajoutant d'un mois à la date initiale. Ce qui fera deux mois", en rajoute Moundiaye Cissé de l'ONG 3D.
Le COSCE considère que: "cette période est cruciale pour les électeurs, notamment pour les primo-votants et ceux désirant effectuer une modification de leur adresse électorale".
Le collectif rappelle à l'État que les élections "sont le procédé démocratique par lequel le peuple souverain désigne ses représentants. Pour être crédible, tout processus électoral doit reposer sur un contrôle citoyen qui en garantit la transparence. Ce contrôle citoyen s'exprime à travers la participation citoyenne qui permet de renforcer la légitimité des dirigeants élus."
"En vue d'assurer une participation qualitative et quantitative des citoyens au scrutin présidentiel, le COSCE demande à l'État du Sénégal de rallonger le délai de révision des listes électorales afin de permettre une inscription massive des citoyens sénégalais", a plaidé Alassane Seck de la Ligue Sénégalaise de droit de l'Homme, face à la presse ce lundi.
En effet, le COSCE estime que la période "d'un mois allouée à cette étape clé du processus électoral est trop courte", alors la société civile veut que celle-ci soit prorogée pour un "délai de 2 mois".
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