La révélation par le Premier ministre, Ousmane Sonko, lors d’une conférence de presse en septembre 2024, concernant l’existence d’une « dette cachée », continue de susciter de vives réactions. Ce vendredi, lors de la séance des questions d’actualité, plusieurs députés ont interrogé le gouvernement sur la nature de cette dette.
Le ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr, a apporté une première réponse en indiquant qu’il s’agissait d’« une dette qui n’a pas été communiquée au Fonds monétaire international (FMI) ». Le Premier ministre, Ousmane Sonko, est ensuite intervenu pour préciser : « C’est une dette qui ne devait pas seulement être communiquée au FMI, mais dont le peuple sénégalais, à travers l’Assemblée nationale, devait être le premier informé, car elle a été contractée en son nom. »
Pour illustrer l’ampleur du phénomène, Ousmane Sonko a annoncé que « le travail n’est pas achevé, les enquêtes se poursuivent ». Il a justifié cette prolongation par deux raisons principales. Premièrement, une « enquête minutieuse » est nécessaire concernant la dette bancaire intérieure. Deuxièmement, d’importantes sommes d’argent ont transité par des comptes bancaires en dehors des procédures établies. « Entre 2019 et 2024, plus de 1300 milliards de F CFA sont passés par un compte sans surveillance », a-t-il affirmé. C’est donc pour élucider l’ensemble de ces faits, a-t-il souligné, que les investigations se poursuivent, afin d’éclairer pleinement les Sénégalais.
Par ailleurs, évoquant le Plan de Redressement Économique et Social (PRES), le Premier ministre a lancé un appel à l’opposition, qui critique ce plan, en l’invitant à proposer des solutions alternatives.
Le ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr, a apporté une première réponse en indiquant qu’il s’agissait d’« une dette qui n’a pas été communiquée au Fonds monétaire international (FMI) ». Le Premier ministre, Ousmane Sonko, est ensuite intervenu pour préciser : « C’est une dette qui ne devait pas seulement être communiquée au FMI, mais dont le peuple sénégalais, à travers l’Assemblée nationale, devait être le premier informé, car elle a été contractée en son nom. »
Pour illustrer l’ampleur du phénomène, Ousmane Sonko a annoncé que « le travail n’est pas achevé, les enquêtes se poursuivent ». Il a justifié cette prolongation par deux raisons principales. Premièrement, une « enquête minutieuse » est nécessaire concernant la dette bancaire intérieure. Deuxièmement, d’importantes sommes d’argent ont transité par des comptes bancaires en dehors des procédures établies. « Entre 2019 et 2024, plus de 1300 milliards de F CFA sont passés par un compte sans surveillance », a-t-il affirmé. C’est donc pour élucider l’ensemble de ces faits, a-t-il souligné, que les investigations se poursuivent, afin d’éclairer pleinement les Sénégalais.
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