Les tensions russo-américaines s'invitent au menu de la réunion du conseil des gouverneurs de l'AIEA à Vienne. REUTERS/Herwig Prammer
Des réacteurs nucléaires en Syrie, il n’en existe a priori qu’un seul : un petit réacteur de recherche situé dans la banlieue de Damas. La Russie aimerait bien savoir si ce réacteur présente oui ou non un danger en cas de bombardement par les Américains.
Respect des traités internationaux
Il est impossible de répondre. Jusqu’ici, l’AIEA se contente de vérifier que la Syrie respecte bien les traités internationaux. Son directeur général, le Japonais Yukiya Amano, indique : « Nous avons envoyé des inspecteurs visiter régulièrement ce réacteur. Il y a environ un kilogramme d’uranium hautement enrichi, ce qui n’est pas beaucoup. Pour le reste, nous n’en savons rien. Notre but en envoyant les inspecteurs est simplement de faire des vérifications. Nous ne faisons pas d’enquête de sécurité ».
Pour les Américains, c’est un non-sujet, une simple manœuvre diplomatique de la part des Russes. Pour eux, c’est clair : cela ne fait même pas partie des attributions de l’AIEA. Avant même de répondre à la question des Russes, il faudra donc déterminer si l’AIEA est légitime à le faire. Yukiya Amano a prévenu, cela prendra du temps...
Respect des traités internationaux
Il est impossible de répondre. Jusqu’ici, l’AIEA se contente de vérifier que la Syrie respecte bien les traités internationaux. Son directeur général, le Japonais Yukiya Amano, indique : « Nous avons envoyé des inspecteurs visiter régulièrement ce réacteur. Il y a environ un kilogramme d’uranium hautement enrichi, ce qui n’est pas beaucoup. Pour le reste, nous n’en savons rien. Notre but en envoyant les inspecteurs est simplement de faire des vérifications. Nous ne faisons pas d’enquête de sécurité ».
Pour les Américains, c’est un non-sujet, une simple manœuvre diplomatique de la part des Russes. Pour eux, c’est clair : cela ne fait même pas partie des attributions de l’AIEA. Avant même de répondre à la question des Russes, il faudra donc déterminer si l’AIEA est légitime à le faire. Yukiya Amano a prévenu, cela prendra du temps...
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