Le ressortissant chinois venait de garer son véhicule dans un quartier de Bamako. Le motocycliste avec qui il avait visiblement rendez-vous arrive. Il porte des sacs. A l’intérieur, près de 40 peaux d’ânes, soit autant d’animaux tués. Tous les sacs et leur contenu sont transférés dans le véhicule qui démarre en trombe.
Mais la police malienne interviendra un peu plus tard pour interpeller le ressortissant chinois. Il n’est pas encore très bavard pour le moment, mais d’ores et déjà, il est soupçonné d’être à la tête d’un réseau de trafiquants de peaux d’ânes entre le Mali, voire l’Afrique de l’Ouest, et la Chine.
Un complice malien en Chine
Parmi ses complices, un homme originaire du Burkina Faso, qui fait également face au même trafic de l’espèce asine. Il y a également un ressortissant malien basé en Chine, du moins à en croire les premiers propos de l’homme arrêté. La peau d’âne exportée vers la Chine servirait à fabriquer des chaussures et des médicaments traditionnels.
Avant la découverte de ce trafic de peaux d’ânes ici au Mali, c’est la consommation, pourtant interdite, de la viande de cet animal de la famille des équidés qui inquiétait. Les abattages clandestins étaient organisés, surtout dans la région de Ségou au nord de Bamako. De nombreuses arrestations ont été effectuées.
Source: Rfi.fr
Mais la police malienne interviendra un peu plus tard pour interpeller le ressortissant chinois. Il n’est pas encore très bavard pour le moment, mais d’ores et déjà, il est soupçonné d’être à la tête d’un réseau de trafiquants de peaux d’ânes entre le Mali, voire l’Afrique de l’Ouest, et la Chine.
Un complice malien en Chine
Parmi ses complices, un homme originaire du Burkina Faso, qui fait également face au même trafic de l’espèce asine. Il y a également un ressortissant malien basé en Chine, du moins à en croire les premiers propos de l’homme arrêté. La peau d’âne exportée vers la Chine servirait à fabriquer des chaussures et des médicaments traditionnels.
Avant la découverte de ce trafic de peaux d’ânes ici au Mali, c’est la consommation, pourtant interdite, de la viande de cet animal de la famille des équidés qui inquiétait. Les abattages clandestins étaient organisés, surtout dans la région de Ségou au nord de Bamako. De nombreuses arrestations ont été effectuées.
Source: Rfi.fr
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