Comme pour répondre à Me Madické Niang sur le dialogue national auquel le Khalif général des Mourides via son porte-parole, a invité la classe politique, à l’occasion de la cérémonie officielle du Magal 2017, le vice-président de l’Assemblée nationale ne veut pas entendre parler de « préalables ». Pour Moustapha Cissé LO, l’opposition doit avant tout autre chose, accepter la main tendue du président de la République, Macky Sall.
« Aujourd’hui, l’une des recommandations fortes que nous devons prendre en considération, c’est le dialogue national, un dialogue entre les acteurs politiques, un dialogue franc et sincère mais on ne peut pas faire un dialogue de sourds, on ne peut pas mettre des préalables avant ledit dialogue. Pour dialoguer, il faut des acteurs qui acceptent de discuter ensemble. Il faudrait que l’opposition accepte de tendre la main au président pour échanger sur les questions conflictuelles. Il ne peut pas y avoir de préalables si on veut dialoguer. D’abord, il faudrait accepter de répondre, ensuite il y aura les termes de référence. Si nous devons dialoguer, les partis politiques représentatifs qui vont dialoguer ensemble et décider des contours d’un consensus sur les questions d’intérêt national pour que le Sénégal puisse émerger. Il y aura toujours opposition et pouvoir, pourquoi ne pas l’accepter ? », sert le responsable de l’APR (Alliance Pour la République, parti présidentiel).
« Aujourd’hui, l’une des recommandations fortes que nous devons prendre en considération, c’est le dialogue national, un dialogue entre les acteurs politiques, un dialogue franc et sincère mais on ne peut pas faire un dialogue de sourds, on ne peut pas mettre des préalables avant ledit dialogue. Pour dialoguer, il faut des acteurs qui acceptent de discuter ensemble. Il faudrait que l’opposition accepte de tendre la main au président pour échanger sur les questions conflictuelles. Il ne peut pas y avoir de préalables si on veut dialoguer. D’abord, il faudrait accepter de répondre, ensuite il y aura les termes de référence. Si nous devons dialoguer, les partis politiques représentatifs qui vont dialoguer ensemble et décider des contours d’un consensus sur les questions d’intérêt national pour que le Sénégal puisse émerger. Il y aura toujours opposition et pouvoir, pourquoi ne pas l’accepter ? », sert le responsable de l’APR (Alliance Pour la République, parti présidentiel).
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