Le Secrétaire général de la coordination Syndicat Autonome de l'Enseignement Supérieur (SAES) à l’Université Gaston Gerber (Ugb) fait l'état des lieux après les affrontements qui ont opposé les étudiants aux forces de l'ordre. Selon Patrice Corréa, l’Ugb est complément à terre, c'est le sinistre.
«L’université est complètement à terre, la situation est macabre. Le rectorat est réduit en cendre, les services sociaux sont complément saccagés», peste-t-il.
L’invité de l’émission «Objection» de Sud Fm de ce dimanche 20 mai de révéler que les auteurs de ces actes, «sont partis avec des ressources importantes, avec des disques durs, des ordinateurs, du matériel de travail, la documentation est parti sens dessous, sens dessus, les badauds sont passés par là entre temps. Et, « l’université n’a même pas fait l’objet de sécurisation après le sinistre, c’est ça qui est dramatique », déplore-t-il.
Pire, souligne qu'il : «n'a vu l’ombre d’aucune autorité, d’aucun service, ni les gendarmes, ni les policiers, ni mêmes les sapeurs-pompiers qui étaient censés venir au moins sécuriser les lieux et éteindre le feu qui couvaient encore à l’intérieur du bâtiment du rectorat. Tout cela est extrêmement pitoyable. C’est gravissime».
Malgré la « gravité de la situation», l’enseignant-chercheur ne perd pas espoir. Il dit être «sûr que cette université va se remettre sur ses pieds et va monter encore une fois qu’elle est une très grande université». Mais, précise-t-il, «il faut d’avantage d’efforts pour que cet espoir-là puisse encore remobiliser les uns et les autres et permettre de cet université de se remettre sur ses pieds».
«L’université est complètement à terre, la situation est macabre. Le rectorat est réduit en cendre, les services sociaux sont complément saccagés», peste-t-il.
L’invité de l’émission «Objection» de Sud Fm de ce dimanche 20 mai de révéler que les auteurs de ces actes, «sont partis avec des ressources importantes, avec des disques durs, des ordinateurs, du matériel de travail, la documentation est parti sens dessous, sens dessus, les badauds sont passés par là entre temps. Et, « l’université n’a même pas fait l’objet de sécurisation après le sinistre, c’est ça qui est dramatique », déplore-t-il.
Pire, souligne qu'il : «n'a vu l’ombre d’aucune autorité, d’aucun service, ni les gendarmes, ni les policiers, ni mêmes les sapeurs-pompiers qui étaient censés venir au moins sécuriser les lieux et éteindre le feu qui couvaient encore à l’intérieur du bâtiment du rectorat. Tout cela est extrêmement pitoyable. C’est gravissime».
Malgré la « gravité de la situation», l’enseignant-chercheur ne perd pas espoir. Il dit être «sûr que cette université va se remettre sur ses pieds et va monter encore une fois qu’elle est une très grande université». Mais, précise-t-il, «il faut d’avantage d’efforts pour que cet espoir-là puisse encore remobiliser les uns et les autres et permettre de cet université de se remettre sur ses pieds».
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