Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, le Collectif des organisations de la société civile pour l’observation sociale et politique «condamne fermement l’utilisation excessive de la violence qui est devenue une pratique courante et systématique des forces de l’ordre à l’occasion de manifestations d’élèves, d’étudiant et de citoyens».
Suite à la mort par balle réelle de l’étudiant Mouhamed Fallou Sène survenue au cours d’affrontements avec les forces de l’ordre, le collectif attire l’attention des pouvoirs publics sur les risques que «l’usage d’armes légères et de balles réelles dans les opérations de maintien ou de rétablissement de l’ordre peut engendrer».
Il demande que «de pareilles bavures soient évitées en attendant que l’enquête en cours situe les responsabilités pour que toutes les conséquences de Droit en soient tirées».
Le collectif est d’avis que «ce regain de tension dans les Universités où les manifestations semblent s’amplifier, après des séries de grèves ayant paralysé pendant longtemps l’école Sénégalaise, pose la lancinante question de la crise structurelle qui secoue l’ensemble du système éducatif avec souvent comme soubassement des accords non respectés et des retards dans le paiement d’indemnités ou de bourses».
S’inclinant devant la mémoire de l’étudiant Fallou Séne et souhaitant un prompt rétablissement à tous les blessés de ces manifestations, le Collectif rappelle «encore une fois, à tous les acteurs, l’urgente nécessité de privilégier, le dialogue et la concertation sur toutes les questions majeures qui concernent le pays, gage de paix, et de stabilité conditions essentielles pour tout développement».
Suite à la mort par balle réelle de l’étudiant Mouhamed Fallou Sène survenue au cours d’affrontements avec les forces de l’ordre, le collectif attire l’attention des pouvoirs publics sur les risques que «l’usage d’armes légères et de balles réelles dans les opérations de maintien ou de rétablissement de l’ordre peut engendrer».
Il demande que «de pareilles bavures soient évitées en attendant que l’enquête en cours situe les responsabilités pour que toutes les conséquences de Droit en soient tirées».
Le collectif est d’avis que «ce regain de tension dans les Universités où les manifestations semblent s’amplifier, après des séries de grèves ayant paralysé pendant longtemps l’école Sénégalaise, pose la lancinante question de la crise structurelle qui secoue l’ensemble du système éducatif avec souvent comme soubassement des accords non respectés et des retards dans le paiement d’indemnités ou de bourses».
S’inclinant devant la mémoire de l’étudiant Fallou Séne et souhaitant un prompt rétablissement à tous les blessés de ces manifestations, le Collectif rappelle «encore une fois, à tous les acteurs, l’urgente nécessité de privilégier, le dialogue et la concertation sur toutes les questions majeures qui concernent le pays, gage de paix, et de stabilité conditions essentielles pour tout développement».
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