« L’objectif est de pouvoir régler à moyen terme les questions énergétiques dans notre sous-région, donc il est prévu des financements de l’ordre de 20. 000 milliards F C fa », a affirmé mercredi soir à l’AFP le président béninois de la Banque.
« Nous allons définir les zones de grande production (…) de sorte à pouvoir régler de façon globale la question pour les différents pays. Le problème sera réglé aussi bien en ce qui concerne les énergies conventionnelles que les énergies renouvelables sur lesquelles nous travaillons beaucoup », a-t-il ajouté sans préciser les moyens financiers susceptibles d’être dégagés pour s’attaquer à ce vaste chantier.
« Nous sommes en train de mettre l’accent surtout sur les infrastructures pour rendre nos économies très compétitives. Et quand je parle d’infrastructures c’est d’abord l’énergie », a-t-il souligné.
L’électrification de l’Afrique de l’Ouest reste très partielle. De millions d’habitants vivent sans électricité dans des zones rurales alors que les délestages (coupures) sont fréquents dans beaucoup de grandes villes et capitales.
Les opérateurs économiques sont bridés par un approvisionnement chaotique. « Sans énergie, il n’y a pas de développement », résume Oumar Tembely, le représentant en Côte d’Ivoire de la BOAD.
Source: Maliactu.net
« Nous allons définir les zones de grande production (…) de sorte à pouvoir régler de façon globale la question pour les différents pays. Le problème sera réglé aussi bien en ce qui concerne les énergies conventionnelles que les énergies renouvelables sur lesquelles nous travaillons beaucoup », a-t-il ajouté sans préciser les moyens financiers susceptibles d’être dégagés pour s’attaquer à ce vaste chantier.
« Nous sommes en train de mettre l’accent surtout sur les infrastructures pour rendre nos économies très compétitives. Et quand je parle d’infrastructures c’est d’abord l’énergie », a-t-il souligné.
L’électrification de l’Afrique de l’Ouest reste très partielle. De millions d’habitants vivent sans électricité dans des zones rurales alors que les délestages (coupures) sont fréquents dans beaucoup de grandes villes et capitales.
Les opérateurs économiques sont bridés par un approvisionnement chaotique. « Sans énergie, il n’y a pas de développement », résume Oumar Tembely, le représentant en Côte d’Ivoire de la BOAD.
Source: Maliactu.net
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