Le 23 décembre dernier, le Premier ministre Ahmed Ouyahia annonce la signature avec les syndicats officiels et le patronat d'une charte de partenariat public-privé. Ce texte permet entre autre l'ouverture du capital de certaines PME publiques, autrement dit des privatisations.
Le FLN, le premier parti du pays, grince des dents. Le parti des travailleurs aussi. Les privatisations n'ont pas bonne réputation. Et les PME publiques emploient près de 30 000 personnes.
Une instruction présidentielle est alors envoyée la semaine dernière au gouvernement : il y est écrit que la décision d'une ouverture de capital d'une entreprise publique reste « de la seule prérogative décisionnelle » du président Bouteflika.
La presse estime que c'est un recadrage du Premier ministre. Mais hier, la présidence dément : elle soutient bien les privatisations qui peuvent aider à « revitaliser » les entreprises publiques, et voulait apporter « plus de transparence » à un processus qui est souvent perçu comme un « bradage du patrimoine public ».
Le FLN, le premier parti du pays, grince des dents. Le parti des travailleurs aussi. Les privatisations n'ont pas bonne réputation. Et les PME publiques emploient près de 30 000 personnes.
Une instruction présidentielle est alors envoyée la semaine dernière au gouvernement : il y est écrit que la décision d'une ouverture de capital d'une entreprise publique reste « de la seule prérogative décisionnelle » du président Bouteflika.
La presse estime que c'est un recadrage du Premier ministre. Mais hier, la présidence dément : elle soutient bien les privatisations qui peuvent aider à « revitaliser » les entreprises publiques, et voulait apporter « plus de transparence » à un processus qui est souvent perçu comme un « bradage du patrimoine public ».
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