Lors d'une rencontre jeudi avec le président Roch Marc Christian Kabore, les partis de l'opposition ont demandé que la diaspora Burkinabè ait la possibilité de voter dès 2020
La rencontre a été demandée par le président Kabore lui-même pour évoquer des questions d'intérêt national.
La loi électorale du pays a occupé les devants lors de l'échange entre les deux parties.
Elle prévoit le début du vote de la diaspora pour 2020 et après son élection en 2015, le président du faso en a fait un engagement, mais les choses avancent lentement au point d'inquiéter l'opposition.
Sur le terrain le recensement qui doit aboutir à la délivrance des cartes consulaires, pièce essentielle du vote traîne, a constaté l'opposition.
Fin janvier, le président Kabore a nommé un ministre chargé de la diaspora avec pour mission principale la préparation du vote des burkinabè de l'étranger en 2020.
Autre sujet au centre des discussions entre le président Burkinabè et l'opposition, le projet de constitution qui est sur la table du gouvernement depuis 2017. Rien n'a filtré sur les délais.
L'on ne sait pas non plus si l'adoption passera par l'assemblée nationale ou par voie référendaire comme le stipule le code électoral.
Les débats vont se poursuivre dans les semaines à venir selon Zephirin Diabre, le chef de file de l'opposition.
La rencontre a été demandée par le président Kabore lui-même pour évoquer des questions d'intérêt national.
La loi électorale du pays a occupé les devants lors de l'échange entre les deux parties.
Elle prévoit le début du vote de la diaspora pour 2020 et après son élection en 2015, le président du faso en a fait un engagement, mais les choses avancent lentement au point d'inquiéter l'opposition.
Sur le terrain le recensement qui doit aboutir à la délivrance des cartes consulaires, pièce essentielle du vote traîne, a constaté l'opposition.
Fin janvier, le président Kabore a nommé un ministre chargé de la diaspora avec pour mission principale la préparation du vote des burkinabè de l'étranger en 2020.
Autre sujet au centre des discussions entre le président Burkinabè et l'opposition, le projet de constitution qui est sur la table du gouvernement depuis 2017. Rien n'a filtré sur les délais.
L'on ne sait pas non plus si l'adoption passera par l'assemblée nationale ou par voie référendaire comme le stipule le code électoral.
Les débats vont se poursuivre dans les semaines à venir selon Zephirin Diabre, le chef de file de l'opposition.
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