Les instigateurs de la contestation ont été condamnés en Guinée, à des peines allant de six à douze mois de prison. Parmi les eux, on compte d’importantes figures de la société civile, principaux responsables du Front national de défense de la Constitution. Ils sont poursuivis pour «manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique et à occasionner des troubles à l’ordre public».
Autres articles
-
À la Une: Guinée et Centrafrique, deux présidentielles jouées d’avance
-
Maroc: au moins 21 morts lors de crues soudaines dans la ville côtière de Safi
-
Guinée-Bissau: un proche de l'ex-président Embalo arrêté lors de son arrivée à Lisbonne
-
Sommet de la Cédéao: les dirigeants ouest-africains réaffirment leur «tolérance zéro» pour les putschs militaires
-
RCA : lancement en fanfare de la campagne présidentielle




À la Une: Guinée et Centrafrique, deux présidentielles jouées d’avance


