Le Premier ministre français, Edouard Philippe a appelé lundi, à l’occasion du Forum International de Dakar sur la Paix et la Sécurité en Afrique, les Etats africains à une coopération au sens large. Il appelle les pays qui ne sont pas confrontés de manière directe à l’extension de la menace terroriste à s’impliquer à la lutte. Car pour lui, ces derniers détiennent une partie de la solution pour la combattre.
« Nous ne sommes pas réunis ici pour satisfaire un exercice d’autosatisfactions. Il faut regarder la situation en face. Tous les partenaires ont vocation à s’y associer. Les États du Sahel bien sûr, mais aussi les États côtiers, de la Côte d’Ivoire au Bénin. Même si ces États ne sont pas confrontés de manière directe à l’extension de la menace terroriste, ils détiennent une partie de la solution pour la combattre », a indiqué Edouard Philippe.
Dans son discours, le Premier ministre français a indiqué que les Etats ont besoin de stabilité pour se développer du point de vue économique, humain, social. Ce qui constitue pour lui, un puissant facteur de stabilité.
Ce rendez-vous permettra d’échanger, discuter, réfléchir, sur le rôle des populations et de la société civile dans la sécurité, sur la prévention de l’extrémisme violent et la sécurité numérique.
« Nous ne sommes pas réunis ici pour satisfaire un exercice d’autosatisfactions. Il faut regarder la situation en face. Tous les partenaires ont vocation à s’y associer. Les États du Sahel bien sûr, mais aussi les États côtiers, de la Côte d’Ivoire au Bénin. Même si ces États ne sont pas confrontés de manière directe à l’extension de la menace terroriste, ils détiennent une partie de la solution pour la combattre », a indiqué Edouard Philippe.
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