Saipem Sénégal a procédé, ce mardi à l’inauguration de la « Petite Maison Rose », un nouveau centre de protection pour enfants en situation de danger. Cette cérémonie a réuni des acteurs institutionnels et communautaires clés qui ont procédé à la coupe du ruban suivie d’une visite guidée. Ce centre selon Bertrand Noyelle, accueillera « chaque année, jusqu'à 200 enfants ».
« La Petite Maison Rose s’inscrit dans le cadre de notre stratégie de responsabilité sociétale, en complément de nos activités techniques qui continuent de faire du Sénégal et de la Mauritanie des acteurs majeurs de l’énergie mondiale. Le centre que nous inaugurons aujourd’hui accueillera jusqu’à 200 enfants par an. Il proposera un accompagnement médical et psychosocial grâce à notre partenaire Universelle. Une association reconnue pour son engagement et son expertise sur le terrain », a déclaré Bertrand Noyelle, directeur de Saipem Sénégal.
Prenant la parole, la fondatrice de la Maison Rose a retracé l'historique de la petite maison rose. « Ce projet est né d'un travail de 35 ans commencé à la gare de Lyon, à Paris. À Paris, elle accueillait les femmes de la rue ayant vécu des violences et des rejets. L’ancien tribunal a ouvert ses portes pour accueillir les jeunes filles et les enfants victimes de viol ou de grande violence. Tout ce chemin a été une expérience enrichissante pour apprendre à connaître l’être humain », a soutenu Mme Mona Chassério.
Venu témoigner de sa sympathie, l’ancien Premier ministre, Mimi Touré, a soutenu que la demande était exponentielle. « Ce n'est pas facile au quotidien. Comme vous le savez, la demande est exponentielle. En ces temps de crise, dans une ville comme Guédiawaye, qui est également sous tension économique, ce sont souvent les enfants et les femmes qui sont les plus vulnérables. Mais elles font preuve d'une résilience extraordinaire », a déclaré Aminata Touré, représentant du chef de l’État.
Le préfet du département de Guédiawaye a pour sa part noté que la Maison Rose vise à autonomiser les femmes en leur offrant la tranquillité d'esprit, une seconde chance et l'opportunité de reconstruire leur vie, dans une société où elles sont souvent confrontées à d'immenses défis, tels que la violence et la discrimination.
Centre d'accueil et de reconstruction pour les femmes et les filles victimes de violences
« La Maison Rose est née d'une conviction forte : celle que chaque femme, quelle que soit son histoire, a droit à un avenir de paix, à une seconde chance et à l'opportunité de reconstruire sa vie. Nous sommes convaincues que chaque femme, quelle que soit son histoire, a droit à un avenir de paix, à une seconde chance et à l’opportunité de reconstruire sa vie. Dans notre société, les femmes sont souvent confrontées à des défis immenses, à la violence, à la précarité et à la discrimination dès lors qu'elles deviennent mères. La Maison Rose apporte une réponse concrète à ces problématiques », note Ahmadou Coumba Ndiaye.
Il faut dire que la Maison Rose de Guédiawaye, également appelée Dar es Salam, est un centre d'accueil et de reconstruction pour les femmes et les filles victimes de violences, de maltraitance, d'inceste, de viol ou de prostitution. La Maison Rose est bien plus qu’un refuge d’urgence : c’est un lieu de résilience, de formation, de solidarité et de redéploiement pour des femmes brisées. En alliant écoute, réhabilitation et autonomisation, elle transforme la tragédie et la douleur en estime de soi et en projets de vie.
« La Petite Maison Rose s’inscrit dans le cadre de notre stratégie de responsabilité sociétale, en complément de nos activités techniques qui continuent de faire du Sénégal et de la Mauritanie des acteurs majeurs de l’énergie mondiale. Le centre que nous inaugurons aujourd’hui accueillera jusqu’à 200 enfants par an. Il proposera un accompagnement médical et psychosocial grâce à notre partenaire Universelle. Une association reconnue pour son engagement et son expertise sur le terrain », a déclaré Bertrand Noyelle, directeur de Saipem Sénégal.
Prenant la parole, la fondatrice de la Maison Rose a retracé l'historique de la petite maison rose. « Ce projet est né d'un travail de 35 ans commencé à la gare de Lyon, à Paris. À Paris, elle accueillait les femmes de la rue ayant vécu des violences et des rejets. L’ancien tribunal a ouvert ses portes pour accueillir les jeunes filles et les enfants victimes de viol ou de grande violence. Tout ce chemin a été une expérience enrichissante pour apprendre à connaître l’être humain », a soutenu Mme Mona Chassério.
"Le Sénégal compte environ 2 millions d'enfants de moins de 4 ans"Pour la représentante de la Protection judiciaire et sociale, « le ministère de la Justice, en charge de la protection des enfants victimes d'infraction ou en conflit avec la loi, considère cette initiative comme une illustration concrète et exemplaire de notre mission commune : protéger, accompagner et redonner espoir à celles et ceux que la vie a mis à l'épreuve, alors que le Sénégal compte environ 2 millions d'enfants de moins de 4 ans, soit près de 16 % de la population, avec une vulnérabilité accrue. En effet, cette pouponnière ne sera pas seulement un lieu d’accueil, mais un véritable lieu de reconstruction », a déclaré Mme Aissé Gassama Tall.
Venu témoigner de sa sympathie, l’ancien Premier ministre, Mimi Touré, a soutenu que la demande était exponentielle. « Ce n'est pas facile au quotidien. Comme vous le savez, la demande est exponentielle. En ces temps de crise, dans une ville comme Guédiawaye, qui est également sous tension économique, ce sont souvent les enfants et les femmes qui sont les plus vulnérables. Mais elles font preuve d'une résilience extraordinaire », a déclaré Aminata Touré, représentant du chef de l’État.
Le préfet du département de Guédiawaye a pour sa part noté que la Maison Rose vise à autonomiser les femmes en leur offrant la tranquillité d'esprit, une seconde chance et l'opportunité de reconstruire leur vie, dans une société où elles sont souvent confrontées à d'immenses défis, tels que la violence et la discrimination.
Centre d'accueil et de reconstruction pour les femmes et les filles victimes de violences
« La Maison Rose est née d'une conviction forte : celle que chaque femme, quelle que soit son histoire, a droit à un avenir de paix, à une seconde chance et à l'opportunité de reconstruire sa vie. Nous sommes convaincues que chaque femme, quelle que soit son histoire, a droit à un avenir de paix, à une seconde chance et à l’opportunité de reconstruire sa vie. Dans notre société, les femmes sont souvent confrontées à des défis immenses, à la violence, à la précarité et à la discrimination dès lors qu'elles deviennent mères. La Maison Rose apporte une réponse concrète à ces problématiques », note Ahmadou Coumba Ndiaye.
Il faut dire que la Maison Rose de Guédiawaye, également appelée Dar es Salam, est un centre d'accueil et de reconstruction pour les femmes et les filles victimes de violences, de maltraitance, d'inceste, de viol ou de prostitution. La Maison Rose est bien plus qu’un refuge d’urgence : c’est un lieu de résilience, de formation, de solidarité et de redéploiement pour des femmes brisées. En alliant écoute, réhabilitation et autonomisation, elle transforme la tragédie et la douleur en estime de soi et en projets de vie.
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