Les étudiants de l’Uvs-Eno n’en peuvent plus de leurs conditions de travail jugés «difficiles». Ils déplorent entre autres, le retard du déroulement de leurs cours, le non-paiement des bourses et l’inadéquation du système d’évaluation. Face à la presse, ils entendent dérouler leur plan d’action pour exiger le même traitement que leurs camarades des autres universités.
« Le vendredi passé, par la voix du collectif, on avait déposé un mémorandum, une plateforme revendicative dans laquelle il y avait tous nos problèmes», a rappelé leur porte-parole, Mohamed Fall.
Et de poursuivre : «On avait donné un ultimatum à l’administration à l’Uvs en leur disant que d’ici lundi s’il n’y a pas de réactions, nous allions passer au Plan B. ». Lequel, explique-t-il, consiste « à fermer les portes de l’Eno et parler avec la presse».
S’agissant des points de revendication, l’étudiant de déclarer : « Notre problème majeur, c’est la connectivité. Il y a aussi le problème des tuteurs parce que c’est un système dans lequel l’Uvs travaille ».
A l’en croire, les tuteurs doivent être présents aux heures de cours. Mais, malheureusement, déplore-t-il, « nous constatons qu’en se connectant, on ne voit pas de tuteurs. Et pire, il n’y a même pas de tuteurs dans certaines matières. Là c’est une problème», peste-t-il sur Sud Fm.
L’autre problème, avance Mohamed Fall, «c’est le problème des primes. Dès lors que vous êtes orientés à l’Uvs et que la première vague arrive, on doit commencer les cours. Je fais partie de la promotion 4».
«Ce qui est désastreux, lorsqu’on a démarré le premier semestre, on a orienté d’autres bacheliers qui ont eu leur Bac en 2016. Et, on les appelle la promotion 4’ (prime). Et, eux, on doit les attendre», renseigne-t-il. Avant d'ajouter : «la situation est pareille avec la promotion 5. Ils nous font accumuler un retard».
Sur ce, ces étudiants au nombre de plus 6500, veulent «que les primes cessent » : « A l’Ucad et à l’Ugb, on n’a jamais vu de prime. Et pourquoi à l’Uvs ? », se questionne-t-il..
« Le vendredi passé, par la voix du collectif, on avait déposé un mémorandum, une plateforme revendicative dans laquelle il y avait tous nos problèmes», a rappelé leur porte-parole, Mohamed Fall.
Et de poursuivre : «On avait donné un ultimatum à l’administration à l’Uvs en leur disant que d’ici lundi s’il n’y a pas de réactions, nous allions passer au Plan B. ». Lequel, explique-t-il, consiste « à fermer les portes de l’Eno et parler avec la presse».
S’agissant des points de revendication, l’étudiant de déclarer : « Notre problème majeur, c’est la connectivité. Il y a aussi le problème des tuteurs parce que c’est un système dans lequel l’Uvs travaille ».
A l’en croire, les tuteurs doivent être présents aux heures de cours. Mais, malheureusement, déplore-t-il, « nous constatons qu’en se connectant, on ne voit pas de tuteurs. Et pire, il n’y a même pas de tuteurs dans certaines matières. Là c’est une problème», peste-t-il sur Sud Fm.
L’autre problème, avance Mohamed Fall, «c’est le problème des primes. Dès lors que vous êtes orientés à l’Uvs et que la première vague arrive, on doit commencer les cours. Je fais partie de la promotion 4».
«Ce qui est désastreux, lorsqu’on a démarré le premier semestre, on a orienté d’autres bacheliers qui ont eu leur Bac en 2016. Et, on les appelle la promotion 4’ (prime). Et, eux, on doit les attendre», renseigne-t-il. Avant d'ajouter : «la situation est pareille avec la promotion 5. Ils nous font accumuler un retard».
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