Les cheminots de DBF et du PTB ont décidé d'unir leur forcer pour faire ensemble face à l'Etat, lequel a décidé de geler la desserte de Touba durant la période du Magal. C'est dans ce désir de faire plier le gouvernement qu'ils envisagent de paralyser le réseau ferroviaire dès ce jeudi à minuit.
«A minuit, nous allons arrêter le réseau pour 24 h pour montrer aux autorités notre inquiétude par rapport au devenir des personnels des deux entreprises », informe le président de l’intersyndical des travailleurs de DBF.
Pour cause, explique Mame Mbaye Tounkara sur la Rfm, «Aujourd’hui, l’avenir de DBF est menacé, l’avenir du PTB est menacé, parce que nous avons une autorité qui n’a pas une politique ferroviaire cohérente. La situation des deux entreprises mérite une attention particulière».
Pis, déplore-t-il : «Depuis 8 mois, le DBF n’a pas roulé pour aller à Bamako. Au PTB, ils ne sont pas sûrs d’être pris dans le personnel du Ter (Train express régional). Ce qu’il (l’Etat, ndlr) veut faire maintenant, c’est un nouveau chemin de fer sans les cheminots».
Par ailleurs, ces syndicalistes veulent marquer leurs désaccords par rapport à la décision «unilatérale » d’arrêter les trains du Magal de Touba 2018 sans concertation avec les deux entreprises».
Ils préviennent que : «si des décisions ne sont pas prises, nous serons obligés d’aller vers des mouvements illimités, des marches… »
«A minuit, nous allons arrêter le réseau pour 24 h pour montrer aux autorités notre inquiétude par rapport au devenir des personnels des deux entreprises », informe le président de l’intersyndical des travailleurs de DBF.
Pour cause, explique Mame Mbaye Tounkara sur la Rfm, «Aujourd’hui, l’avenir de DBF est menacé, l’avenir du PTB est menacé, parce que nous avons une autorité qui n’a pas une politique ferroviaire cohérente. La situation des deux entreprises mérite une attention particulière».
Pis, déplore-t-il : «Depuis 8 mois, le DBF n’a pas roulé pour aller à Bamako. Au PTB, ils ne sont pas sûrs d’être pris dans le personnel du Ter (Train express régional). Ce qu’il (l’Etat, ndlr) veut faire maintenant, c’est un nouveau chemin de fer sans les cheminots».
Par ailleurs, ces syndicalistes veulent marquer leurs désaccords par rapport à la décision «unilatérale » d’arrêter les trains du Magal de Touba 2018 sans concertation avec les deux entreprises».
Ils préviennent que : «si des décisions ne sont pas prises, nous serons obligés d’aller vers des mouvements illimités, des marches… »
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