Les proches et les amis de l’Imam Alioune Badara Ndoa ne badinent plus. Porte-parole, Moussa Ndoa et Cie fulminent, face à la presse. «L’Imam a été l’objet de déplacements récurrents entre les prisons. Il a commencé par Rebeuss, ensuite à Saint-Louis, de nouveau à Rebeuss, ensuite au Cap Manuel et de Cap manuel au Camp pénal. Ces déplacements vraiment nous les déplorons. Ensuite, récemment, durant trois (3) semaines, ses proches ne peuvent pas le voir et on n’a aucune nouvelle. Et ça, nous le dénonçons avec la plus grande énergie. Nous disons que c’est une attitude nébuleuse. Et cela suscite beaucoup d’interrogations», scandent-ils.
Et de préciser : «A notre plus grande surprise, la demande de liberté provisoire a été rejetée ». Parlant de «deux poids, deux mesures », ces proches s’interrogent : «Pourquoi l’Imam a un traitement particulier ? ».
Moussa Ndao et Cie ne ratent pas l’occasion pour rappeler que «l’Imam était en bonne santé physique et mentale ». «Donc nous souhaitons qu’il le reste. Nous demandons qu’il soit jugé le plus vite possible, qu’on apporte des preuves fiables de ce dont on l’accuse sinon qu’on le libère,… », marquent-ils.
L'imam Alioune Badara Ndao a été arrêté à Kaolack, fin octobre, dans le cadre d'une vaste opération antiterroriste contre un réseau de jihadistes supposés en lien avec Boko Haram.
Et de préciser : «A notre plus grande surprise, la demande de liberté provisoire a été rejetée ». Parlant de «deux poids, deux mesures », ces proches s’interrogent : «Pourquoi l’Imam a un traitement particulier ? ».
Moussa Ndao et Cie ne ratent pas l’occasion pour rappeler que «l’Imam était en bonne santé physique et mentale ». «Donc nous souhaitons qu’il le reste. Nous demandons qu’il soit jugé le plus vite possible, qu’on apporte des preuves fiables de ce dont on l’accuse sinon qu’on le libère,… », marquent-ils.
L'imam Alioune Badara Ndao a été arrêté à Kaolack, fin octobre, dans le cadre d'une vaste opération antiterroriste contre un réseau de jihadistes supposés en lien avec Boko Haram.
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