«Le chef de l'État sénégalais, Macky Sall a annoncé le mardi 16 février dernier qu'il comptait soumettre, le 20 mars prochain, quinze (15) propositions de réformes dont la réduction de la durée du mandat du président de la République qui devrait passer de 7 à 5 ans. Se référant à l’avis du Conseil Constitutionnel, le Président a déclaré que la réduction de la durée du mandat ne peut être appliquée au mandat en cours. Ce point, pomme de discorde, semble l’emporter sur les 14 autres propositions de réformes non moins importantes et qui méritent un large consensus national. Il convient de souligner que les réformes institutionnelles constituent une forte demande des citoyens et des forces vives de la nation. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui ont justifié la mise en place de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI)», campe le Rassemblement Islamique du Sénégal.
A cet effet, RIS AL WAHDA indique qu’il «ne pouvait cacher sa satisfaction par rapport à la décision du Président de la République de créer la (CNRI) dont la mission était de proposer des réformes majeures, fécondes et refondatrices pour le Sénégal». «Considérant l’importance des réformes dans le renforcement de la démocratie et de l’État de droit ; Considérant que les véritables réformes doivent transcender les étiquettes politiques pour engager le Peuple dans son ensemble; Considérant l’importance du consensus dans le succès et la viabilité des réformes à engager ; Considérant l’importance du dialogue et de la concertation dans l’appropriation des réformes» ; le Rassemblement Islamique du Sénégal «est fondé à croire que la démarche actuelle entreprise par le Président de la République ne garantit pas l’examen profond et l’appropriation nationale des propositions de réformes».
«Pour qu’elles aboutissent aux transformations politiques, juridiques, économiques, sociales probantes», les réformes «doivent être le fruit de partage et de larges concertations entre tous les acteurs : politiques, économiques, religieux, société civile», propose le Rassemblement Islamique du Sénégal. «Loin de jeter l’opprobre sur les propositions de réformes du Président de la République, RIS AL WAHDA propose «le report de la date du référendum prévue le 20 Mars prochain afin de créer un climat de dialogue inclusif et sincère avec tous les acteurs pour un consensus fort autour de réformes plus concertées et plus consolidantes».
A cet effet, RIS AL WAHDA indique qu’il «ne pouvait cacher sa satisfaction par rapport à la décision du Président de la République de créer la (CNRI) dont la mission était de proposer des réformes majeures, fécondes et refondatrices pour le Sénégal». «Considérant l’importance des réformes dans le renforcement de la démocratie et de l’État de droit ; Considérant que les véritables réformes doivent transcender les étiquettes politiques pour engager le Peuple dans son ensemble; Considérant l’importance du consensus dans le succès et la viabilité des réformes à engager ; Considérant l’importance du dialogue et de la concertation dans l’appropriation des réformes» ; le Rassemblement Islamique du Sénégal «est fondé à croire que la démarche actuelle entreprise par le Président de la République ne garantit pas l’examen profond et l’appropriation nationale des propositions de réformes».
«Pour qu’elles aboutissent aux transformations politiques, juridiques, économiques, sociales probantes», les réformes «doivent être le fruit de partage et de larges concertations entre tous les acteurs : politiques, économiques, religieux, société civile», propose le Rassemblement Islamique du Sénégal. «Loin de jeter l’opprobre sur les propositions de réformes du Président de la République, RIS AL WAHDA propose «le report de la date du référendum prévue le 20 Mars prochain afin de créer un climat de dialogue inclusif et sincère avec tous les acteurs pour un consensus fort autour de réformes plus concertées et plus consolidantes».
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