
Selon le journaliste américain, David Pakman, Donald Trump présente des signes évidents de démence précoce, qui pourraient s’apparenter à un début de la maladie d’Alzheimer, dont son père a lui-même souffert. Premier indice relevé par le journaliste : le vocabulaire très pauvre du président qui utiliserait de plus en plus de locutions simples et enfantine, comme les mots “chose”, “bon”, “mauvais”, avec de moins en moins de nuances.
Une perte progressive de vocabulaire
C’est en analysant les allocutions non préparées du président américain et en les comparant avec d’autres lorsqu’il était plus jeune que David Pakman dresse ce constat, remarquant que la pauvreté du vocabulaire de Donald Trump est de plus en plus flagrante, année après année. Or, selon lui, la perte progressive du vocabulaire était aussi caractéristique du mandat de Ronald Reagan, atteint d’une maladie neurodégénérative alors qu’il était au pouvoir. A l’inverse, le journaliste montre que George Bush Senior n’avait rien perdu de son vocabulaire entre le début et la fin de son mandat.
Une maladie mentale
Autres signes préoccupants selon le journaliste : son manque d’équilibre lorsqu’il s’est raccroché au bras de Theresa May récemment, sa phobie des escaliers, son oubli de poser la main sur le cœur pendant l’hymne américain et bien sûr ses excès qui seraient l’apanage d’une maladie mentale plus que d’une simple personnalité narcissique.
Un spécialiste des troubles de la personnalité se mobilise
Un avis totalement partagé par le docteur John Gartner, spécialiste des troubles de la personnalité et enseignant à Baltimore et à New York. Ce dernier a carrément fondé une association intitulée “Duty to alert” afin de prévenir le monde, dit-il, que le président américain est malade et incapable d’assurer sa fonction.
“Donald Trump est toujours mentalement malade. Il est toujours notre président, et il continue à générer autour de lui du chaos”, “voilà plusieurs mois que je le dis : Trump est un ‘narcissique malin’, qui se vengera de tout ce qu’il ressentira comme un affront, aussi infime soit-il : Dieu garde Kim Jong-un de ce qui énerverait le président. C’est un homme qui sur-réagira à toute attaque, à toute menace terroriste de manière impulsive, brutale, et malheureuse”, a-t-il déclaré à L’Obs qui l’a contacté. Décidé à donner l’alerte, il a mis en ligne une pétition pour réclamer sa destitution au nom de son instabilité mentale, avec près de 50.000 signatures déjà recueillies.
Une perte progressive de vocabulaire
C’est en analysant les allocutions non préparées du président américain et en les comparant avec d’autres lorsqu’il était plus jeune que David Pakman dresse ce constat, remarquant que la pauvreté du vocabulaire de Donald Trump est de plus en plus flagrante, année après année. Or, selon lui, la perte progressive du vocabulaire était aussi caractéristique du mandat de Ronald Reagan, atteint d’une maladie neurodégénérative alors qu’il était au pouvoir. A l’inverse, le journaliste montre que George Bush Senior n’avait rien perdu de son vocabulaire entre le début et la fin de son mandat.
Une maladie mentale
Autres signes préoccupants selon le journaliste : son manque d’équilibre lorsqu’il s’est raccroché au bras de Theresa May récemment, sa phobie des escaliers, son oubli de poser la main sur le cœur pendant l’hymne américain et bien sûr ses excès qui seraient l’apanage d’une maladie mentale plus que d’une simple personnalité narcissique.
Un spécialiste des troubles de la personnalité se mobilise
Un avis totalement partagé par le docteur John Gartner, spécialiste des troubles de la personnalité et enseignant à Baltimore et à New York. Ce dernier a carrément fondé une association intitulée “Duty to alert” afin de prévenir le monde, dit-il, que le président américain est malade et incapable d’assurer sa fonction.
“Donald Trump est toujours mentalement malade. Il est toujours notre président, et il continue à générer autour de lui du chaos”, “voilà plusieurs mois que je le dis : Trump est un ‘narcissique malin’, qui se vengera de tout ce qu’il ressentira comme un affront, aussi infime soit-il : Dieu garde Kim Jong-un de ce qui énerverait le président. C’est un homme qui sur-réagira à toute attaque, à toute menace terroriste de manière impulsive, brutale, et malheureuse”, a-t-il déclaré à L’Obs qui l’a contacté. Décidé à donner l’alerte, il a mis en ligne une pétition pour réclamer sa destitution au nom de son instabilité mentale, avec près de 50.000 signatures déjà recueillies.
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