La région de Kolda franchit une nouvelle étape dans la protection de son patrimoine forestier. Quatre forêts classées ont été officiellement identifiées dans la région, dont trois feront l’objet d’un pancartage imminent. Il s’agit des forêts classées de Saré Bandé, Saré Lally et Médina Salam Dinga.
Dans cette dynamique, un Comité régional de développement (CRD) s’est tenu ce mardi 24 décembre afin de sensibiliser l’ensemble des acteurs concernés et de partager les informations relatives à cette opération. La rencontre a réuni les services techniques de l’État, les collectivités territoriales, les autorités administratives ainsi que les communautés locales, toutes parties prenantes dans la gestion durable des ressources naturelles.
Pour le chef de l’Inspection régionale des Eaux et Forêts de Kolda, le lieutenant-colonel Moussa Diémé, l’enjeu est de taille. « L’importance du pancartage et du bornage des forêts est une évidence », a-t-il souligné. Selon lui, la région fait face à une pression croissante liée à l’avancée du front agricole, une situation qui n’épargne aucun massif forestier. « Au niveau de Kolda, on est confronté à l’avancée du front agricole et aucun massif n’est épargné, même les forêts classées », a-t-il regretté.
La situation est d’autant plus préoccupante que certaines forêts ont déjà subi des dégradations importantes. « Il y a des forêts impactées à plus de 40 %, comme c’est le cas de la forêt de Pata », a précisé l’inspecteur régional des Eaux et Forêts. Un constat alarmant qui met en lumière l’urgence d’agir pour préserver ces écosystèmes essentiels à l’équilibre environnemental et aux moyens de subsistance des populations.
Face à ces menaces, les autorités forestières appellent à une mobilisation collective. « Les forêts sont menacées, il faut agir », a alerté le lieutenant-colonel Diémé. Le pancartage et la sensibilisation apparaissent ainsi comme des outils clés pour matérialiser les limites des forêts classées, prévenir les occupations illégales et renforcer la conscience environnementale des communautés riveraines.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet de gestion des ressources naturelles au Sénégal qui vise à promouvoir une exploitation durable des forêts, à lutter contre la déforestation et à renforcer la gouvernance environnementale au niveau local.
Dans cette dynamique, un Comité régional de développement (CRD) s’est tenu ce mardi 24 décembre afin de sensibiliser l’ensemble des acteurs concernés et de partager les informations relatives à cette opération. La rencontre a réuni les services techniques de l’État, les collectivités territoriales, les autorités administratives ainsi que les communautés locales, toutes parties prenantes dans la gestion durable des ressources naturelles.
Pour le chef de l’Inspection régionale des Eaux et Forêts de Kolda, le lieutenant-colonel Moussa Diémé, l’enjeu est de taille. « L’importance du pancartage et du bornage des forêts est une évidence », a-t-il souligné. Selon lui, la région fait face à une pression croissante liée à l’avancée du front agricole, une situation qui n’épargne aucun massif forestier. « Au niveau de Kolda, on est confronté à l’avancée du front agricole et aucun massif n’est épargné, même les forêts classées », a-t-il regretté.
La situation est d’autant plus préoccupante que certaines forêts ont déjà subi des dégradations importantes. « Il y a des forêts impactées à plus de 40 %, comme c’est le cas de la forêt de Pata », a précisé l’inspecteur régional des Eaux et Forêts. Un constat alarmant qui met en lumière l’urgence d’agir pour préserver ces écosystèmes essentiels à l’équilibre environnemental et aux moyens de subsistance des populations.
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