Elles sont trois(3) jeunes filles déférées au parquet hier par la Sûreté Urbaine (SU) pour exploitation d’un établissement public sans autorisation administrative, incitant à la débauche, diffusion d’images à caractère pornographique, proxénétisme et non inscription au fichier sanitaire. M. Sow qui est la gérante du salon «Sirène massage» tout comme ses deux (2) employées R. Gueye et A. Gueye ont été perdues par l’annonce qu’elles ont passée sur internet; des annonces avec des images à caractère pornographique diffusées en boucle sur le net.
Exploitant cette information, les limiers de la Sûreté Urbaine (SU) se sont fait passer pour des clients en appelant au numéro qui s’affichait sur l’annonce. L’adresse du cabinet de massage connue, ils ont constaté sur place que les masseuses faisaient des choses peu catholiques. Elles se mettent nues et caressent les parties intimes de leurs clients.
C’est le cas d’un jeune cadre trouvé sur place et qui a été entendu comme témoin par les limiers, livre «Vox Populi».
Exploitant cette information, les limiers de la Sûreté Urbaine (SU) se sont fait passer pour des clients en appelant au numéro qui s’affichait sur l’annonce. L’adresse du cabinet de massage connue, ils ont constaté sur place que les masseuses faisaient des choses peu catholiques. Elles se mettent nues et caressent les parties intimes de leurs clients.
C’est le cas d’un jeune cadre trouvé sur place et qui a été entendu comme témoin par les limiers, livre «Vox Populi».
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