Les 1265 policiers fonctionnaires radiés suite à un mouvement d’humeur entre Dakar et Thiès en 1987 suite à la loi 87-14 du 28 avril 1987 votée par l’Assemblée nationale sont revenus à la charge. Les victimes continuent de dénoncer une loi cynique et exigent réparation. Ils interpellent les nouvelles autorités.
« L’Etat du Sénégal profitant de cette opportunité que certains ont décrié comme étant un plan machiavélique savamment orchestré, dicté par les instructions de Bretton-Woods (banque mondiale-Fmi) dans le cadre du plan de réajustement structurel imposé par ces derniers dans certains pays africains dont le Sénégal », a déclaré sur la RFM, Mouhamadou Gueye, brigadier-chef, président des policiers municipaux à la retraite.
Qui ajoute : « Alors que le pouvoir de sanction ne revenant qu’à l’autorité ayant le pouvoir de nomination, l’Etat du Sénégal a délibérément eu la main lourde en procédant à cette mesure de radiation qui a eu des conséquences désastreuses sur des milliers de famille sénégalaise (maladie, décès, démence, enfants abandonnant le chemin de l’école, familles disloquées). L’Assemblée, haut lieu de notre démocratie n’avait ni le pouvoir, ni les prérogatives de voter une telle loi qui est inconstitutionnelle », a-t-il fustigé.
Les policiers radiés interpellent les nouveaux dirigeants. « Nous lançons un vibrant appel aux nouveaux dirigeants de notre pays épris de paix, de dignité et respectueux des droits humains pour régler définitivement ce douloureux et lancinant problème vieux de 37 ans », ont-ils dit.
« L’Etat du Sénégal profitant de cette opportunité que certains ont décrié comme étant un plan machiavélique savamment orchestré, dicté par les instructions de Bretton-Woods (banque mondiale-Fmi) dans le cadre du plan de réajustement structurel imposé par ces derniers dans certains pays africains dont le Sénégal », a déclaré sur la RFM, Mouhamadou Gueye, brigadier-chef, président des policiers municipaux à la retraite.
Qui ajoute : « Alors que le pouvoir de sanction ne revenant qu’à l’autorité ayant le pouvoir de nomination, l’Etat du Sénégal a délibérément eu la main lourde en procédant à cette mesure de radiation qui a eu des conséquences désastreuses sur des milliers de famille sénégalaise (maladie, décès, démence, enfants abandonnant le chemin de l’école, familles disloquées). L’Assemblée, haut lieu de notre démocratie n’avait ni le pouvoir, ni les prérogatives de voter une telle loi qui est inconstitutionnelle », a-t-il fustigé.
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