«C’est une décision qui va dans le bon sens, normale, logique d’autant plus que son arrestation était arbitraire et ne devait même pas avoir lieu », campe Abdou Khafor Touré. Au téléphone de Pressafrik.com, le cadre libéral pense que «c’est quelque chose qui grandit notre démocratie pour aller dans un esprit d’apaisement, de dépassement ».
«Le Sénégal est une démocratie majeure, il n’est pas bon pour notre image qu’il y est des prisonniers politiques », indique-t-il en martelant qu’«il est inacceptable que les gens fassent de la prison pour des délits d’opinion». Pour l’ancien Dg de l’ANEJ sous Wade, «c’était un abus déjà d’arrêter un député en cours de session» et «ce sont des abus qu’il faut éviter à l’avenir parce que nous sommes dans un Etat de droit, il faut respecter les principes et les règles de l’Etat de droit».
Mais le combat est loin d’être fini, à l’en croire car dit-il : «Il faut continuer pour le respect de la liberté d’expression des opposants » et «il faut le respect de l’Etat de droit ». En ce sens, développe Abdou Khafor Touré : «Il faut la libération de tous les détenus politiques parce qu’il en reste encore notamment notre frère Karim Wade ».
«Le Sénégal est une démocratie majeure, il n’est pas bon pour notre image qu’il y est des prisonniers politiques », indique-t-il en martelant qu’«il est inacceptable que les gens fassent de la prison pour des délits d’opinion». Pour l’ancien Dg de l’ANEJ sous Wade, «c’était un abus déjà d’arrêter un député en cours de session» et «ce sont des abus qu’il faut éviter à l’avenir parce que nous sommes dans un Etat de droit, il faut respecter les principes et les règles de l’Etat de droit».
Mais le combat est loin d’être fini, à l’en croire car dit-il : «Il faut continuer pour le respect de la liberté d’expression des opposants » et «il faut le respect de l’Etat de droit ». En ce sens, développe Abdou Khafor Touré : «Il faut la libération de tous les détenus politiques parce qu’il en reste encore notamment notre frère Karim Wade ».
Autres articles
-
68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030
-
Situation du Sénégal : « Ousmane Sonko est aussi bien responsable que le Président Diomaye », selon Ahmeth Diallo, leader « Gox yu Bess »
-
La France et le Sénégal veulent un « partenariat rénové », selon l’ambassadrice Christine Fages
-
Décret renforçant la Primature : " Diomaye et Sonko veulent contrôler tout le pouvoir" (Ahmeth Diallo)
-
Cédéao : stabilité politique et sécurité au cœur du sommet ouest-africain




68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030


