
La situation est rare, mais l’Olympique de Marseille s’en réjouit. André et Jordan Ayew, les deux fils d’Abedi Pelé tiennent les promesses placées en eux, pour qui il n’était pas facile de porter l’étiquette de « fils de » surtout compte tenu de la popularité du joueur ghanéen à l’OM. Mais dans la Provence, celui qui fut champion d’Europe avec Marseille en 1993, avoue la fierté de voir ses enfants prendre de l’importance au sein de son club favori.
« Dédé a été très bon mardi en Ligue des Champions. Mais il va encore progresser. Jordan et lui ont la chance d’évoluer dans le club qui les a formés, où ils sont aimés, où tout est fait autour d’eux pour les aider à grandir. José Anigo parle beaucoup à Dédé, Didier Deschamps aussi, ils connaissent les difficultés que peuvent rencontrer des jeunes à l’OM où il n’est pas facile de s’affirmer. Et mieux ils joueront, plus l’OM pourra en bénéficier, explique Abedi Pelé, conscient d’avoir eu des débuts plus délicats à l’OM. C’est vrai que je ne me suis imposé que lors de mon deuxième passage trois ans plus tard, mais à l’époque, j’arrivais d’Afrique; André et Jordan, eux, ont grandi en France, ils parlent la langue, ce sont des footballeurs de culture européenne. Et puis, c’est vrai que, physiquement comme mentalement, Dédé est très costaud (...) Il doit garder sa politesse envers les gens, son respect et la conscience que le foot, c’est collectif, qu’on ne réussit pas tout seul.»
« Dédé a été très bon mardi en Ligue des Champions. Mais il va encore progresser. Jordan et lui ont la chance d’évoluer dans le club qui les a formés, où ils sont aimés, où tout est fait autour d’eux pour les aider à grandir. José Anigo parle beaucoup à Dédé, Didier Deschamps aussi, ils connaissent les difficultés que peuvent rencontrer des jeunes à l’OM où il n’est pas facile de s’affirmer. Et mieux ils joueront, plus l’OM pourra en bénéficier, explique Abedi Pelé, conscient d’avoir eu des débuts plus délicats à l’OM. C’est vrai que je ne me suis imposé que lors de mon deuxième passage trois ans plus tard, mais à l’époque, j’arrivais d’Afrique; André et Jordan, eux, ont grandi en France, ils parlent la langue, ce sont des footballeurs de culture européenne. Et puis, c’est vrai que, physiquement comme mentalement, Dédé est très costaud (...) Il doit garder sa politesse envers les gens, son respect et la conscience que le foot, c’est collectif, qu’on ne réussit pas tout seul.»
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