Le fond d'appui au développement des organisations communautaires (FADOC) a crié son râle le bord. En effet, le FADOC vient de taper sur la table pour dire non à la boulimie foncière qui se fait au détriment des femmes. Une analyse statique du système foncier sénégalais laisse apparaitre trois grands ensembles qui sont souvent mal distribués ou d'une manière inégale. Ainsi le FADOC trouve que, même si le législateur a, dans l'élaboration de cette loi, pris toutes les disposition pour un accès équitable au foncier, deux problèmes majeures peuvent être décelés. La main mise de la gente masculine sur le capital foncier depuis le transfert des compétences aux collectivités locales gérées pour la plupart par des hommes au détriment des femmes. I
l y a aussi l'intérêt manifeste de certains opérateurs désireux d'embrasser de grandes surfaces pour le développement de l'agrobusiness causant un grand préjudice aux exploitations familiales rurales. En effet, les agents des collectivités locales contrôlés ont des parcelles chaque fois qu'il y a lotissement et cela au grand dame des femmes. Un cri que la représentante de green Sénégal, Wore gana Seck a voulu faire entendre. Les hommes qui sont, plus représentatifs dans les collectivités locales, s'accaparent des terres et se les partagent. Ce qui constitue un grand handicap pour les femmes et allant de cela aux familles, à la société et au monde.
Le défi est de voir comment faire pour que les populations maitrisent les textes et amènent les élus locaux à plus de transparence dans la gestion du foncier. Et la parité, selon eux, favorisera la pleine participation notamment des femmes dans la gestion de la ressource.
l y a aussi l'intérêt manifeste de certains opérateurs désireux d'embrasser de grandes surfaces pour le développement de l'agrobusiness causant un grand préjudice aux exploitations familiales rurales. En effet, les agents des collectivités locales contrôlés ont des parcelles chaque fois qu'il y a lotissement et cela au grand dame des femmes. Un cri que la représentante de green Sénégal, Wore gana Seck a voulu faire entendre. Les hommes qui sont, plus représentatifs dans les collectivités locales, s'accaparent des terres et se les partagent. Ce qui constitue un grand handicap pour les femmes et allant de cela aux familles, à la société et au monde.
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