En novembre 2007, la mort de deux jeunes de Villier-le-Bel dans une colision à moto avec un véhicule vait été à l'origine d'émeutes.
Pour les familles des victimes, ce procès est l'aboutissement d'un long combat judiciaire. L'enquête sur la collision avait dans un premier temps écarté toute responsabilité des policiers. Une ordonnance de non-lieu avait même été rendue par un juge d'instruction avant qu'un supplément d'information ne permette de faire toute la lumière sur ce drame.
Le 25 novembre 2007, Moushim et Lakmy, deux adolescents de Villers-le-Bel, circulent sur une moto non homologuée pour la route, dépourvue de frein et d'éclairage, il ne portent pas de casques. A un carrefour, ils sont percutés de plein fouet par un véhicule de police.
L'expertise va montrer que la voiture était en phase d'accélération, sans gyrophare ni avertisseur, et qu'elle roulait à une vitesse bien supérieure à la limite autorisée.
Emeutes
Le soir du drame, de violentes échauffourées entre jeunes et forces de l'ordre éclatent à Villiers-le-Bel. Les émeutes vont durer deux jours au cours desquels une centaine de policiers seront blessés par des tirs d'armes à feu. Six ans après les faits, les victimes espèrent désormais que le tribunal reconnaitra l'infraction routière et que soit constitué le délit d'homicide involontaire.
Accusé de n'avoir pas respecté la limitation de vitesse, le policier encourt une peine de trois ans de prison et de 45 000 euros d'amende.
Source : Rfi.fr
Le 25 novembre 2007, Moushim et Lakmy, deux adolescents de Villers-le-Bel, circulent sur une moto non homologuée pour la route, dépourvue de frein et d'éclairage, il ne portent pas de casques. A un carrefour, ils sont percutés de plein fouet par un véhicule de police.
L'expertise va montrer que la voiture était en phase d'accélération, sans gyrophare ni avertisseur, et qu'elle roulait à une vitesse bien supérieure à la limite autorisée.
Emeutes
Le soir du drame, de violentes échauffourées entre jeunes et forces de l'ordre éclatent à Villiers-le-Bel. Les émeutes vont durer deux jours au cours desquels une centaine de policiers seront blessés par des tirs d'armes à feu. Six ans après les faits, les victimes espèrent désormais que le tribunal reconnaitra l'infraction routière et que soit constitué le délit d'homicide involontaire.
Accusé de n'avoir pas respecté la limitation de vitesse, le policier encourt une peine de trois ans de prison et de 45 000 euros d'amende.
Source : Rfi.fr
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