
Dans le bâtiment Europa du Conseil de l’Europe, les dirigeants arrivent tout sourire. Devant une poignée de photographes, Ursula Von der Leyen, la présidente de la Commission, et Charles Michel, le président du Conseil, semblent ravis de parapher ces quelques pages, rapporte notre correspondant à Bruxelles, Jérémy Audouard.
Peu de temps après, ces fameux documents vont quitter Bruxelles direction Londres, via un avion de la Royal Air Force. Car c’est ensuite au Premier ministre britannique Boris Johnson d’apposer sa signature.
Cet accord de libre-échange, conclu in extremis la veille de Noël, va entrer en vigueur dès le 1er janvier, minuit, heure de Paris. Pour autant, la procédure de divorce n’est pas encore bouclée. Il s’agit là d’un accord provisoire. Le Parlement européen doit encore ratifier le texte. Ce sera probablement chose faite à la fin du mois de février.
Peu de temps après, ces fameux documents vont quitter Bruxelles direction Londres, via un avion de la Royal Air Force. Car c’est ensuite au Premier ministre britannique Boris Johnson d’apposer sa signature.
Cet accord de libre-échange, conclu in extremis la veille de Noël, va entrer en vigueur dès le 1er janvier, minuit, heure de Paris. Pour autant, la procédure de divorce n’est pas encore bouclée. Il s’agit là d’un accord provisoire. Le Parlement européen doit encore ratifier le texte. Ce sera probablement chose faite à la fin du mois de février.
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