«Ce matin on a eu la nouvelle comme quoi l’hôpital Principal refusait de prendre les malades de Gounass. L’information n’est pas exacte, puisque le Samu national a adressé ses premiers malades grâce à une réanimation de l’hôpital principal de Dakar », a fait savoir Pr Bacary Diatta, Directeur général de cette structure.
Selon lui, ce qu'il y a, c'est que : «l’hôpital Principal a un service de réanimation médicale de 12 lits et une réanimation chirurgicale de 12 lits dont 3 de brûlés. Et ils ont une chambre aseptisée. Donc on ne peut pas mettre un quatrième brûlé dans une salle ordinaire», explique-t-il.
Et, indique-t-il, la salle des brûlés étant plaine, le service médical a même décidé de placer un quatrième brûlé dans une chambre ordinaire. Ce qui se révèle, fait savoir Pr Diatta, être inefficace puisque les conditions dans lesquelles doit être un tel malade ne sont pas réunies. Ce qui le pousse à dire que «c’est comme si ce brûlé était à Gounass. Parce que si on les met en dehors de la salle aseptisée, ils vont pendre des microbes, ils seront avec tout le monde et le résultat ne servira pas à grand-chose».
Pr Diatta recommande pour plus d’efficacité de placer les brûlés de «moins de 25% » dans d’autres structures car, la structure sanitaire qu’il dirige «ne pourra rien faire de plus que ce qui se fait à Tambacounda ».
Selon lui, ce qu'il y a, c'est que : «l’hôpital Principal a un service de réanimation médicale de 12 lits et une réanimation chirurgicale de 12 lits dont 3 de brûlés. Et ils ont une chambre aseptisée. Donc on ne peut pas mettre un quatrième brûlé dans une salle ordinaire», explique-t-il.
Et, indique-t-il, la salle des brûlés étant plaine, le service médical a même décidé de placer un quatrième brûlé dans une chambre ordinaire. Ce qui se révèle, fait savoir Pr Diatta, être inefficace puisque les conditions dans lesquelles doit être un tel malade ne sont pas réunies. Ce qui le pousse à dire que «c’est comme si ce brûlé était à Gounass. Parce que si on les met en dehors de la salle aseptisée, ils vont pendre des microbes, ils seront avec tout le monde et le résultat ne servira pas à grand-chose».
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