Le jour des affrontements entre forces de l’ordre et pensionnaires de l’UCAD, Sidy Mouhamed Boughaleb disposait de cinq (5) munitions. Or, souligne « Libération », l’armurier de l’Ecole nationale de police a fourni une information intéressante au Doyen des juges. Entendu comme témoin dans le cadre de l’instruction, il a affirmé n’avoir pas remis de munitions à aucun policier le jour des affrontements ayant conduit à la mort de Bassirou Faye. Reste à savoir qui a fourni au policier ces munitions ? Et pourquoi ce dernier était-il armé ?
Pour l’heure, Sidy Mouhamed Boughaleb est dans de sales draps. Sur ordonnance du Doyen des juges, il est renvoyé devant la chambre criminelle. Ce, au moment où Tombon Oualy et Saliou Ndao respirent l’air de la liberté.
Pour l’heure, Sidy Mouhamed Boughaleb est dans de sales draps. Sur ordonnance du Doyen des juges, il est renvoyé devant la chambre criminelle. Ce, au moment où Tombon Oualy et Saliou Ndao respirent l’air de la liberté.
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